Dans le cadre du Festival Mir Redde Platt. L'Office de Tourisme Sarreguemines Confluences vous invite à plonger dans le riche passé de notre belle cité faïencière. Votre guide vous dévoilera l'histoire passionnante de Sarreguemines en platt, notre patois local. Elle vous sera contée au fil des rues pour vous présenter les plus beaux édifices et retracer l'évolution de la ville du Moyen-Âge à nos jours. Venez découvrir un patrimoine architectural unique marqué par la croisée des influences, des styles et des époques. L'Art Nouveau y a laissé son empreinte et, naturellement, l'industrie faïencière. Inscriptions obligatoires à l'Office de Tourisme de Sarreguemines.

L'Office de Tourisme Sarreguemines Confluences vous invite à plonger dans le riche passé de notre belle cité faïencière. Votre guide vous dévoilera l'histoire passionnante de Sarreguemines, chargée d'anecdotes. Elle vous sera contée au fil des rues pour vous présenter les plus beaux édifices et retracer l'évolution de la ville du Moyen-Âge à nos jours. Venez découvrir un patrimoine architectural unique marqué par la croisée des influences, des styles et des époques. L'Art Nouveau y a laissé son empreinte et, naturellement, l'industrie faïencière. Inscription obligatoire auprès de l'Office de tourisme Dans la limite des places disponibles.

Le château construit vers 1761 pour le baron Jean-Nicolas de Jacquemin, occupé par le couvent et l'école des Pères Spiritains est désormais fermé. Cet ensemble architectural regroupe l'ancien château de Neufgrange (actuelle mairie), le couvent des Pères Spiritains et la chapelle, ainsi que l'ancienne école Saint-Joseph ( actuelle école élémentaire). La chapelle est le lieu où les Spiritains (frères et pères du Saint-Esprit) ont laissé leur mémoire après 103 ans de présence à l'Institut Saint Joseph de Neufgrange.

Perché sur les flancs abrupts des coteaux de la rive droite de la Sarre, Sarreinsming est un ancien village d'agriculteurs et de vignerons, devenu une coquette commune résidentielle. Des traces d'occupation préhistorique ont été découvertes (silex taillés et la présence de tumuli dans la forêt du Grosswald). Les fouilles archéologiques menées depuis plusieurs décennies ont surtout révélé l'existence d'un important centre gallo-romain, sur une voie romaine qui allait vers Bliesbruck, puis par la vallée de la Blies se dirigeait vers Deux-Ponts. Face aux deux fermes de Wiesing dans la forêt du Grosswald ont été mis à jour les vestiges d'une assez grande villa gallo-romaine qui comprenait un ensemble de thermes et un réseau de canalisations. A proximité, les fouilles du site du Heidenkopf ont révélé l'existence d'une bourgade (vicus) gallo-romaine, avec un quartier artisanal et un atelier de monnayage. Dans la forêt du Lehwald, on peut voir un pont romain en pierre. Appartenant au duché de Lorraine, Sarreinsming changea souvent de seigneur entre le XIIIème siècle et la Révolution. Le village et son château bâtis au XIIIème siècle furent complètement détruits pendant la guerre de Trente Ans. Des reconstructions du XVIIIème siècle subsiste un moulin à deux tournants entièrement restauré, qui embellit aujourd'hui un site naturellement agréable. Dans le village, une maison porte l'inscription > : il s'agit du bâtiment dans lequel on entreposait le produit de la dîme. L'église Saint-Cyriaque, de style grange, a été construite en 1824 et remaniée en 1894.

Le cloître des Récollets, datant du XIIIème siècle et remarquable d'élégance et de simplicité, est un petit havre de sérénité au coeur de la ville. Jean-Marie Pelt y fonde en 1972 l'Institut Européen d'Ecologie, dont le siège est toujours situé à cet endroit. Les Récollets regroupent aujourd'hui des acteurs associatifs et institutionnels travaillant ensemble sur les enjeux du développement durable, de lutte contre le dérèglement climatique et de la transition énergétique, écologique et solidaire. Les Archives Municipales se trouvent également sur ce site.

Les casemates sont les toutes premières construites de la ligne Maginot et les premières à entrer en service actif (test de la casemate en août 1931), mises en service en janvier 1934. Elles ont été le théâtre de combats le 14 juin 1940. L'équipage s'est rendu aux Allemands sur ordre et est considéré comme invaincu le 30 juin 1940. La visite de l'ouvrage transporte le visiteur dans un voyage en 1940 où il découvre la vie du soldat grâce à une riche reconstitution historique. Cette visite permet également de comprendre la construction de la ligne Maginot. Les visites se font sur rendez-vous aux dates et horaires indiqués.

La Galerie Marie Rigaux est installée au rez de chaussée d'une maison particulière à Scy Chazelles dans un espace de 60m². Elle se veut un lieu de découvertes ou redécouvertes, échanges, partages, acquisitions... L'accueil est assuré par Marie Rigaux, initiatrice du projet. Visites pour individuels ou groupes sur rendez-vous.

Une forêt qui abrite un trésor A Sarreinsming, les forêts couvrent une surface assez importante : 266 ha, soit 38 % du ban communal. Les bois de feuillus recouvrent l'ensemble des parties hautes de la commune, ils regroupent principalement des chênes et des hêtres. Sur la rive gauche de la Sarre, la forêt reste encore très présente. Tous les bois du ban communal sont des espaces boisés classés et la plupart appartiennent à la commune. Certains sentiers forestiers sont balisés par le Club Vosgien. En vous promenant dans la Forêt du Grosswald vous découvrirez des vestiges Gallo-Romains.

La pelouse calcaire à la saison des orchidées : découverte du site et de sa biodiversité en parcourant le sentier pédagogique. En partenariat avec le Conservatoire d'Espaces Naturels de Lorraine. RV précisé lors de l'inscription. Sur inscription jusqu'à la veille de la manifestation : patrimoine@lorry-mardigny-patrimoine. Fr ou 06 47 33 29 07

Visite guidée des deux églises classées monuments historiques de Lorry-Mardigny. L'église Ste Croix de Lorry remonte au XIIe siècle. Agrandie à plusieurs reprises, fortifiée, elle retrace l'histoire mouvementée du pays messin. Le chevet de l'église St Laurent de Mardigny est du plus pur art roman. Rendez-vous devant l'église Ste Croix.

Les ruines de la Villa du Grosswald sont en bordure d'un plateau calcaire et dominent la vallée du Fusslach. La villa romaine s'insérait dans un environnement complexe, à proximité d'une voie, d'une source, d'autres villas et d'un vicus.

La création du cimetière juif remonte à 1720. Le premier rabbin connu à Frauenberg-Bliesbrück est cité en 1725. Le cimetière juif de Frauenberg est un des rares cimetières juif à n'avoir jamais connu d'interruption d'inhumation de corps. On admet qu'il a été fondé en 1740, il servait à l'époque à l'inhumation des juifs de la commune, mais aussi de la vallée de la Blies et de Sarreguemines avant la fondation de son propre cimetière en 1899. La synagogue de Frauenberg a été détruite par les nazis en 1940. Aujourd'hui, la plupart des stèles sont très usées et de nombreuses ont probablement déjà disparues sous terre.

Première mention en 1257, dans un acte de donation en faveur de la collégiale de Hombourg-Haut. Il comportait un donjon carré, une enceinte et un palais, agrandi et fortifié au fil des siècles. Au XIVe s. il se présente comme une forteresse-palais de style Renaissance. La tour ronde « Saareck » fut élevée en 1437, l'actuelle tour octogonale en 1891. Jusqu'au XVIIe siècle, le château fut transformé et complété par des bastions. Suite au pillage de la tour ronde en 1591, il fut réaménagé, puis définitivement rasé en 1634 par le Maréchal de la Force, sur ordre de Richelieu et du roi Louis XIII.

Un musée d'histoire racontant la guerre de 1870, ses causes et ses conséquences. Une période pendant laquelle la Moselle et l'Alsace partagèrent leur histoire avec l'Allemagne. Un musée utilisant les techniques de la muséographie d'aujourd'hui, en particulier l'audiovisuel et le multimédia. Groupes sur réservation en haute saison. Gratuité tous les premiers dimanches du mois.

Avec ses 3 blocs de surface (tous visitables) dont 2 de combats, cet ouvrage d'infanterie de la Ligne Maginot était le gardien du plateau de Rohrbach. A l'occasion de sa visite, vous découvrirez une véritable petite ville enfouie sous 25 mètres de calcaire avec tous les équipements nécessaires à la vie des 176 hommes de l'ouvrage. Au cours des deux heures de visite, vous serez guidé à travers le casernement, les soutes à munitions jusqu'au bloc de combat où vous participerez à la manoeuvre d'une tourelle de 135 tonnes. Vous revivrez la vie des soldats du béton, de la mobilisation jusqu'aux événements de 1940 et la signature de l'armistice. Invaincu, le Fort cessera le combat sur ordre du gouvernement. A l'extérieur, vous pourrez vous promener sur le sentier pédestre reliant les blocs entrée et de combats, et appréciez le calme et beauté des paysages.

Issu d'une famille de boulanger, Georges de La Tour, l'un plus grand peintre français du XVII éme siècle, est né à Vic-sur-Seille en Moselle. Le Musée départemental est situé au plein centre de la commune. Doté d'une collection de peinture très cohérente - elle parcourt la peinture française du 17éme jusqu'au début du 20éme siècle - le musée départemental Georges de la Tour offre 960 m² de surfaces d'exposition, répartis sur 3 étages d'environ 130 m² chacun. la peinture du 17éme siècle au 1er étage, le paysage et la peinture du 18éme siècle au 2éme étage et sous la verrière, le romantisme et la période du 19éme au début du 20éme siècle. Les collections vicoises sont développées en sous-sol, référence aux fondations de la terre natale de Georges de la Tour. Le point d'orgue de ces collections est le "Saint-Jean-Baptiste dans le désert" reconnu comme une oeuvre majeure, qui montre saint Jean-Baptiste, maigre adolescent appuyé sur une croix de bois. Le cadrage à mi-corps dans un format en largeur autorise la comparaison avec le tableau de même thème de Caravage.

Dans une présentation moderne et attractive sur 1800m2, plus de 160 objets et maquettes, 25 documents audiovisuels ainsi que d'innombrables photos et documents vous plongeront dans l'histoire du charbon en Lorraine, la vie quotidienne du mineur et de sa famille, les politiques sociales des compagnies minières tout en mettant en lumière quelques métiers particuliers. Le Musée est ouvert du mardi au dimanche de 9h à 18h.

Propriété du Département de la Moselle depuis 2004, le Musée de Marsal raconte l'histoire de "L'or blanc" à travers les techniques de production depuis la préhistoire. Installé dans la Porte de France, vestige des fortifications de Vauban, il évoque également l'histoire de Marsal, ancienne place forte. Les collections illustrent les relations complexes de l'homme au sel au cours de l'histoire. Les richesses du musée: des vestiges archéologiques, un reliquaire du XIV siècle, une vierge ouvrante du XIV siècle, des témoignages de la vie quotidienne. Une nouvelle muséographie met en avant les fortifications et un film en 3D et restitue la citadelle à l'époque de Vauban.

A voir : la Tour Usselskirch, tour romane datant du XIème siècle, les stèles du chemin de croix d'Usselskirch du XVIIème siècle, l'église St-Maximin, inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques en 1994. De nombreuses croix de chemin « Bildstocks », deux oratoires, témoignages du passé religieux, sont érigés dans la commune. Un observatoire de la ligne Maginot, une grange-église, une station de collecte de lait, deux lavoirs figurent dans le patrimoine communal.

La ville de Cattenom est connu pour sa centrale nucléaire qui fournit 8 % de la production nationale d'EDF. Cattenom est un village qui bouge : culture, loisirs, sports, animations, vie associative, tout cela participe au mieux vivre ambiant. À 10 km du Luxembourg, 15 km de l'Allemagne, et 40 km de la Belgique, la ville est un lieu de rencontres interculturelles. À la croisée de tous les chemins, tisser des liens au travers de ces frontières n'a jamais été aussi accessible.