Sur la commune de Sers, les Solutréens (-17000 ans avant JC) avaient établi leur campement sous l'avancée d'une grande falaise qui dominait une paisible rivière, dans la vallée du Roc. Ils ornèrent la paroi rocheuse d'une frise sculptée qui a été découverte en 1927 par le Docteur Léon Henri-Martin. Ce site préhistorique abrite aujourd'hui une reproduction sculptée fidèle de la frise pariétale, représentant des animaux. Les aménagements scénographiques sont conçus en osmose avec le parcours physique de découverte du site : de la cabane de fouilles de Léon Henri Martin, restaurée, au parcours d'interprétation sur le site, où les éléments de signalétique et de scénographie permettent d'informer le public par le biais d'un discours à dimension pédagogique, éducative, ludique et sensorielle. - Sentier agréable et ombragé de 670 m pour accéder au site - Site accessible aux personnes à mobilité réduite - Les chiens tenus en laisse sont les bienvenus Visite libre et gratuite. Groupes acceptés (19 personnes maximum).

Dès 1110, l'église Saint-Pierre dépendait directement des évêques d'Angoulême. Elle fut agrandie au XIIIe siècle par l'adjonction de chapelles funéraires des seigneurs de Nanteuil. Le plan adopté forme un rectangle qu'une abside semi-circulaire prolonge. Une coupole sur trompe surmonte le faux carré et l'abside est voutée en cul de four. Le portail de l'église est ouvert dans le mur sud de l'édifice. Côté ouest, la façade est adjacente au logis du XVe siècle. A l'extérieur, l'imposant clocher carré à plusieurs niveaux qui domine l'édifice est ajouré d'arcs en plein cintre. Classée Monument Historique en 1970.

Au rythme du pas du cheval, découvrez les richesses du patrimoine charentais à travers nos balades commentées ! Un moment de détente convivial et d'exotisme à ne pas manquer, tout en découvrant en douceur les petits coins oubliés de la vallée de l'Échelle

Situé à Sers, ce château du XIIe siècle, permettra à votre équipe de travailler en toute sérénité dans un cadre magnifique.

L'église, le château et les belles demeures du bourg perché sur sa colline s'offriront à votre regard tout au long de ce circuit idéal pour une promenade printanière ou automnale.

Jeu 100 % famille et 100 % gratuit ! Découvrez un patrimoine surprenant en participant à ce "géocaching" riche en rebondissements ! De 7 à 77 ans, partez à l'aventure dans la vallée de l'Echelle, 6km - + de 2h.

Dès 1110, l'église Saint-Pierre dépendait directement des évêques d'Angoulême. Elle fut agrandie au XIIIe siècle par l'adjonction de chapelles funéraires des seigneurs de Nanteuil.

Une grande salle, une petite salle et une cuisine sont disponibles à la location.

Jeu 100 % famille et 100 % gratuit ! Découvrez un patrimoine surprenant en participant à ce "geocaching" riche en rebondissements ! De 7 à 77 ans, partez à l'aventure dans la vallée de l'Echelle, 6km - + de 2h. Munis d'un Smartphone Apple Store ou Google Play, découvrez le nouveau parcours "Préhistoire" de Sers et débusquez le Poï'z "Zilex". Zilex : Poï'z des cavernes, Zilex n'en néglige pas pour autant son look ! Lou-bouquetins aux pieds et poncho en poils de rhinocéros laineux, Zilex et au top de la chaine alimentaire ! Bardée d'un doctorat en Préhistoire-Géo, Zilex parcourt la théorie de l'évolution et les lois de sélection naturelle en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. Allez la rencontrer, elle en bouche un coin !

Echelle 1. 1 « Effleurement et Affleurement ». Créations de Christophe GONNET, juin 2008, en résidence sur le territoire du Pays Horte et Tardoire. « Affleurement » est une oeuvre reconstituant un ensemble de feuilles de saule trouvé au sol, dessinées et liées pour former une plate forme de métal tel un belvédère, implanté au coeur d'un espace naturel sauvegardé et boisé à proximité d'une roselière naturelle, sur laquelle le visiteur peut se poser avec la sensation d'être libre au coeur de la vie de ce milieu, comme un insecte sur une feuille ...

L'église Saint Etienne de Bouëx porte le temoignage de l'histoire locale. Elle fut longtemps liée au château avec lequel elle communiquait directement par une porte. Don du pape Eugène III à l'abbaye de Saint-Cybard en 1146, de forme rectangulaire, elle offre un interieur assez gracieux . L'église a été fortifiée pendant la guerre de cent ans. Le coeur gothique est daté de la seconde moitié du XIIe siècle il représente la partie la plus remarquable de l'édifice. Au dessus de la porte d'entrée on remarque un campanille transformé tout récemment en clocheton. Remaniée au cours des siècles, elle conserve un certain intérêt archictectural. L'église est inscrite à l'inventaire supplémentaire des momuments historique en 2009. Eglise ouverte toute la journée et la mairie a une clé.

De style néo-médiévale, elle est la seule église du territoire de la vallée de l'Echelle édifiée au XXe siècle. Sa nef de trois travées est précèdée d'un porche surmonté d'un clocher élancé. Deux chapelles s'ouvrent au nord et au sud de la nef qui se termine par un sanctuaire à chevet plat. L'ensemble est couvert de voûtes sur croisées d'ogives. L'église est dominée par un haut clocher-porche de style néo-roman surmonté d'une flèche de pierre. A l'intérieur on observe le monument aux morts inauguré le 11 novembre 1935, et deux fresques : le chemin de croix et la nativité, qui sont l'oeuvre de Lucien Deschamps un peintre imagier charentais.

Bâtie à la fin du XIIe siècle selon un "plan courant" choisi par l'évêque Girard II pour les églises de petites paroisses rurales, il ne reste de cette construction romane que le pignon ouest. La façade est de conception simple, à l'image de tout l'édifice. Elle présente un portail dont les voussures sont en arc légèrement brisé. Ce portail est surmonté d'une baie étroite à colonnettes. L'archivolte est décorée de pointes de diamant, élément majeur de la sculpture romane. On y trouve aussi trois petites têtes humaines très naïves, motifs que l'on retrouve sur les chapiteaux de la baie centrale. L'intérieur est composé d'une nef unique de trois travées prolongées vers l'est par une travée droite et une abside en segment de cercle. Les colonnes jumelles adossées à un dosseret prouveraient l'existence antérieure d'un clocher au dessus du choeur. Dans la partie basse, à droite, derrière l'autel, se trouve la porte des morts que l'on retrouve fréquemment dans les églises romanes: la cérémonie funèbre achevée, on y passait uniquement le cercueil reçu dans le cimetière voisin par les fossoyeurs, symbole du passage du monde des vivants à celui des morts. Les vitraux du choeur datent du XIXème siècle, ils ont été offerts par les notables locaux. Le vitrail de droite du XIXème siècle représente la patron de l'église: Saint-Pierre-aux-Liens. Pourquoi Saint-Pierre-aux-Liens ? Au XIIème siècle, naquit une légende qui veut qu'une soudure miraculeuse ait réuni la chaîne qui avait lié l'apôtre Pierre à Jérusalem à celle qui l'avait lié à Rome (ces reliques sont exposées à Rome dans l'église qui abrite le célèbre Moïse de Michel-Ange).

Dominant la campagne environnante à la limite du bourg, cette belle église de style roman bâtie au XIIe siècle présente un très beau décor sculpté en façade.

Dominant la campagne environnante à la limite du bourg, cette belle église de style roman bâtie au XIIe siècle présente un trés beau décor sculpté en façade. La partie de l'édifice dédiée à Saint Martial est antérieure à 1110, mais sa façade et l'abside sont de la seconde moitié du 12e siècle. Déjà modifiée au 13e siècle par la réalisation d'une voûte sur croisées d'ogives au-dessus de la travée orientale de la nef, elle a été agrandie par deux chapelles latérales au 15e siècle. La façade divisée en trois niveaux par des bandeaux, est dotée de sculptures d'une grande finesse d'exécution. Au rez-de-chaussée, entre deux arcades aveugles, le portail comporte quatre voussures. Tous les arcs reposent sur des colonnettes dotées de chapiteaux sculptés de petits personnages, d'animaux et de motifs. Au-dessus, cinq arcades aveugles, à l'exception de celle du centre percée d'une petite baie, reposent sur des colonnettes aux chapiteaux ornés de palmettes. Le pignon a été refait au 19e siècle. La nef est voûtée en berceau plein cintre pour trois de ses travées alors que la quatrième est sur croisées d'ogives. Il n'y a pas de transept et ce sont les chapelles créées au 15e siècle qui débordent des côtés sud et nord. Le clocher s'élève au-dessus d'une coupole sur pendentifs. L'église Saint-Martial a été classée monument historique en 1913.

Cette église Romane du XIIe siècle est d'une grande sobriété et se caractérise surtout par l'harmonie architecturale et l'agencement des volumes. De nombreux remaniements ont profondément modifié l'aspect initial de l'édifice qui se composait : d'une nef unique de quatre travées, une travée sous cocher couverte d'une coupole et une abside en hémicycle. De très larges arcades ont été ouvertes dans les murs de la nef, suite à l'adjonction de chapelles au XVe siècle. La chapelle nord a conservé sa voûte d'ogives, en revanche, la chapelle construite au sud a perdu sa voûte en demi-berceau. La nef a perdu sa voute en berceau lors des restaurations de 1875 au profit d'une voute en plâtre. Par chance, malgré les modifications successives, cette église a conservé de beaux exemples de peintures murales gothiques. Sur la voute en cul de four de l'abside, le thème choisi est une représentation d'un Christ en majesté entouré du tetramorphe, comme c'est le cas très fréquemment. Sur le mur sud de la travée sous clocher, une peinture représente un Christ sur la Croix couché au sol. Sur les murs de la nef et de l'abside, court une litre funéraire. Ce privilège réservé aux seigneurs, permettait à leurs obsèques de disposer leurs armoiries sur des bandes peintes directement sur les murs ou sur des tissus de velours noires tendues à l'intérieur à l'extérieur des églises et des chapelles. L'église Saint-Cybard possède également deux retables finement sculptés et dorés datés du XVIIe siècle. Le tabernacle est surmonté de deux anges et les gradins portent deux statues : Saint-Augustin et Marie Madeleine. Les deux motifs représentent la Nativité et l'annonciation. Un massif clocher de forme carré comporte deux étages. Le premier niveau est orné sur ses quatre faces d'arcatures aveugles, le second niveau est animé de baies géminées. En 2001 la restauration de l'église s'est achevée par la pose des vitraux crées par le peintre Marie-Josépha Tournon. La baie d'axe du choeur représente Saint-Cybard lorsqu'il vivait reclus dans une grotte sous les remparts d'Angoulême. Classée Monument Historique en 1980.

Cette église Romane du XIIe siècle est d'une grande sobriété et se caractérise surtout par l'harmonie architecturale et l'agencement des volumes.

Creusées par les eaux souterraines, situées en lisière de la forêt domaniale de Bois-Blanc, les grottes du Quéroy furent découvertes en 1892. Préservées dans leur état naturel elles offrent au regard de magnifiques concrétions calcaires : stalactites, stalagmites et draperies. Elles furent un habitat Néolithique. Sur place : minigolf et sentiers balisés en forêt

Découverte de la Charente autrement, en montgolfière. Vol libre en ballon. Les horaires de décollage dépendent des horaires du soleil, tôt le matin ou en fin d'après-midi lorsque l'air est calme et stable. Ils varient donc en fonction des saisons.

La forêt de Bois Blanc est implantée sur du karst, proche de la Touvre et de ses sources. Le chêne rouvre, le charme et quelques pins font le bois. Des chemins pédestres et sportifs permettent de rallier la forêt voisine de la Braconne. Les chemins sportifs sont complétés de mobiliers pédagogiques pour enfants et adultes. Animaux acceptés, tenus en laisse. Renseignements : Mairie de Brie au 05 45 69 96 89.