Tout près des falaises d'Orpierre, le mur d'escalade intérieur du Camping des Catoyes accueille les campeurs (gratuitement) et les visiteurs (3EUR), tous les jours en saison de 10h à 21h.

Elevage de brebis allaitantes, viande d'agneau, verger de poires traditionnelles, jus de poires bio.

Invisible depuis la route, le petit village est adossé à un éperon rocheux, au pied des crêtes de la montagne de Chabre. Il est aussi le point de départ de très belles randonnées à pied et à VTT. Un cadran solaire orne la façade de l'église.

Petit village de la vallée de la Méouge, constitué d'une série de hameaux, dont le principal est perché sur les contreforts menant à Notre Dame de Salérans.

Aujourd'hui terre de quiétude avec ses 12 habitants, Nossage et Bénévent ne fut pas toujours un havre de paix : les Baronnies, très tôt converties à la religion réformée, subirent le cortège des exactions des troupes tant catholiques qu'huguenotes.

Un peu à l'écart de la vallée de la Blaisance, le village de Chanousse est perché sur un éperon dominant la vallée dont l'église s'orne sur sa façade sud-est d'un cadran solaire original créé en 2003.

Édifiée entre le milieu du XIe et la fin du XIVe siècle, l'architecture conjugue les styles roman et gothique. Issu des carrières d'Eyguians, le calcaire noir utilisé pour la construction donne au bâtiment une couleur grise très caractéristique.

En lisant le Hussard sur le Toit de Jean Giono peut être reconnaîtrez vous le village : " Montjay, bâti sur un noeud assez important de tous petits chemins campagnards, semblait sain et bien tenu. On logeait à pied et à cheval, juste à l'entrée... "

En contrebas de la route, le long de la Méouge le pont roman à trois arches permettait d'accéder à un ancien moulin dont ne subsistent que les ruines et qui fut emporté lors d'une crue de la Méouge en 1901.

La première localité d'Eyguians, située en plaine, serait citée en 739 sous le nom de Laquaticum. Vers le XIe siècle, pour être mieux protégé, le village est implanté sur la colline dite du Vieil Eyguians. Les vestiges conservés en retracent l'histoire.

Chapelle médiévale reconstruite vers 1660 afin de devenir une chapelle de pélerinage : Saint-Côme et Saint-Damien. Elle est devenue aujourd'hui un lieu de culture où sont régulièrement organisés des concerts.

Golden dorées, boskop écarlates, poires juteuses et abricots mordorés sont sur toutes les tables du Buëch, à peine cueillis dans leurs arbres assoupis sous le soleil généreux de nos côteaux.

Laragne-Montéglin est l'une des communes les plus au sud du département des Hautes-Alpes, à mi chemin entre Grenoble et Marseille.

Le château de Laragne, inscrit comme monument historique, mérite d'être découvert par sa façade orientale, récemment restaurée. Son plan, ses élévations et son décor intérieur s'inspirent de modèles plus septentrionaux de la même époque.

Montauban-sur-Ouvèze est une petite commune située entre Saint-Auban-sur-l'Ouvèze et Laborel sur la D65.

Sur la route de Laragne à Gap, Lazer est un véritable havre de paix pour les promeneurs. Entre ses plateaux arboricoles et ses champs généreux semés de hameaux fleuris, on prend le temps de retrouver les traditions du terroir.

Le charmant village perché de L'Epine doit son nom à la rareté de l'eau et non pas à l'éperon rocheux sur lequel il s'adosse.

La petite commune rurale du Bersac domine la vallée du Buëch, entre la montagne d'Arambre et le Révuaire.

Le prieuré clunisien de Saint-André de Rosans est fondé en 988. Le site conserve les vestiges de ses décors sculptés et de ses pavements, remarquables témoins de l'art roman provençal. Un parcours dans le village médiéval prolonge la visite.

L'Eglise de Ribiers a été reconstruite au lendemain des guerres de religion au XVIe siècle, en utilisant de nombreux restes de l'ancien édifice, mais aussi probablement des restes de l'ancienne abbaye de Clairescombe.