Eglise Saint Martial XII et XV èmes siècles

Visite guidée du domaine familiale

Eglise Sainte Lheurine XII, XV, XVI et XIX èmes siècles Inscriptions (1543) Sarcophage (Moyen Age)

Trott in Charente vous propose de partir à l'aventure au fil de la Charente en trottinette électrique tout-terrain. Un sport accessible à tous en amoureux, en famille, entre amis etc.. Des sensations garanties, pour des balades de loisirs ou plus sportives : A travers le vignoble, parcours d'1h à 2h30, à Criteuil la Magdeleine, Saint Simeux, Chateauneuf sur Charente En bord de Charente, parcours de 45min à 2h, à Chateauneuf sur Charente, Mainxe-Gondeville et Cognac Une belle idée de sortie originale et dans le respect de l'environnement. Premier départ 10h - Dernier départ 17h Sur rendez-vous.

Située dans le parc du château, la Petite Maison du Lin permet d'imaginer ce qu'était la pièce de travail et la vie quotidienne d'un tisserand sous le Second Empire. Présentation de la culture du lin, de ses utilisations et de son histoire. Parcours "guidé" permettant de voir l'église Notre-Dame, le château (extérieur) et la ferme de "La Charmille" (XVIIIe s.), le bassin de rouissage et les lavoirs. Démonstration de tissage sur d'anciens métiers (pièce de lin et lirette de Saintonge). Sur demande : initiation au filage, tissage et à la dentelle au fuseau. Visite toute l'année pour les groupes sur rendez-vous uniquement.

Eglise Saint Pierre XII, XVI et XVII èmes siècles L'église possède un des plus remarquables graffiti de la Haute Saintonge: un cavalier est profondément gravé dans le choeur.

Suivant le pouillé du diocèse de Saintes 1586, l'église de Brie était dédiée à Notre Dame sous le titre de l'Assomption. Elle a pour patron secondaire St Valentin, prêtre et martyr de Rome au III siècle.

La maison du négociant: musée d'art et d'histoire propose une opportunité inédite sur le territoire : plonger dans l'intimité des négociants mais aussi d'évoquer leurs rôles au sein de la cité cognaçaise.

Dans un cadre qui allie vieilles pierres et architecture contemporaine, à l'emplacement de l'hôtel Perrin de Boussac, dont la façade est classée Monument historique, de la plus ancienne maison de négoce, la Maison Augier, de la tour Lusignan et d'une partie du rempart du XIVe, le MACO s'étend sur 2000m2 d'exposition. Il fait ainsi la promotion du Pays de Cognac et de son patrimoine tout en présentant la grande aventure humaine, industrielle et commerciale du cognac. - L'univers patrimonial : une évocation des richesses historiques du pays du cognac grâce différentes scénographies : maquettes de la région et du château royal de Cognac au XVIe s, film « La Charente au fil de l'eau » et dioramas présentant l'art roman, les porches charentais, le fleuve ou encore la faune et de la flore. Un point de départ incontournable pour toute découverte du territoire ! - L'univers technologique du cognac : après une rapide introduction sur l'évolution des bouteilles à travers les âges, la 1ère partie s'intéresse à l'univers de la vigne : les saisons, les cépages, les terroirs, les vendanges, le tout agrémenté d'outils anciens. Changement de registre avec l'art délicat de la distillation, où l'alchimie prend le pas sur les considérations climatiques, avant d'évoquer les métiers qui gravitent ou ont gravité autour du cognac. Pour finir, intéressante rétrospective sur le packaging des grandes marques et collections d'affiches anciennes. En somme, une excellente introduction à la visite des chais et distilleries. - Expériences de réalité virtuelle : Dotés en juillet 2020 de six expériences de réalité virtuelle, ces parcours évoquent avec modernité, ce que fut le territoire à diverses époques. Les dinosaures, le néolithique, l'art roman, la renaissance, les gabarres qui naviguaient à plein sur la Charente ainsi que l'élaboration du fameux nectar des dieux, sont les six thèmes virtuellement présentés. Une technicité de pointe dans laquelle le passé se conjugue au présent et dialogue en permanence avec le futur. Au Musée des arts du cognac (MACO), plongez dans : L'art roman (1150) : Les voyageurs du temps arrivent à un moment crucial et délicat de la construction d'une église romane. Les maîtres-maçons achèvent la coupole... La Renaissance (1526) : Les voyageurs du temps assistent à un événement au coeur de l'histoire de France. Nous sommes en 1526. François 1er vient d'arriver au sein de son château royal, il revient du royaume d'Espagne où il était retenu prisonnier... Le temps des gabares (1900) : La crise du phylloxera a durement touché la région de Cognac mais des solutions commencent à se mettre en place. Le voyageur découvre le monde des gabariers, qui transportaient de nombreuses marchandises sur le fleuve, à bord de leur gabare. Le secret du cognac (1930) : 1930 : les voyageurs sont plongés dans les secrets de la fabrication du cognac aux côtés d'un maître de chai en plein travail d'assemblage... Durée de chaque expérience (2 périodes historiques d'affilée) : 15 minutes. Elles doivent être réservées par téléphone avant votre visite au musée afin de garantir la disponibilité des casques au moment de la visite. Organisé autour d'un rez-de-chaussée et d'un premier étage, le visiteur est invité à découvrir ces différents espaces évocateurs de la liqueur des dieux et de ses alchimies secrètes. Pour prolonger ou terminer cette visite, pour offrir ou s'offrir, une boutique située au rez-de-chaussée propose une large gamme de produits régionaux. Tarifs : Pass avec entrée au musée des arts du cognac et au musée d'art et d'histoire en visite libre + les 3 expériences Voyageurs du virtuel (6 périodes historiques) : 10 euros. Valable 1 an. Entrée unique dans l'un des deux musées et visite libre + la ou les expériences des Voyageurs du virtuel du musée visité (1 expérience avec 2 périodes historiques au MAH ou 2 expériences avec 4 périodes historiques au MACO) : 6 euros.

Le musée des savoir-faire du cognac raconte l'histoire du Pays de Cognac à travers les âges pour aboutir à l'aventure du cognac mettant en avant un pan majeur de l'histoire locale et des techniques de fabrication liées à ce produit emblématique.

Abbaye romane datant de la fin du XIème siècle. Le transept et le choeur ont été partiellement détruits pendant la guerre de 100 ans tandis que les bâtiments conventuels ont été incendiés pendant les guerres de religion en 1562. La communauté des moines augustins a alors commencé à péricliter. L'abbaye a été vendue en tant que bien national en 1795, puis transformée en faïencerie jusqu'en 1825. Son classement en Monument Historique en 1948 a permis de commencer sa restauration qui a récemment connu un nouvel élan avec la restauration de le façade ouest en 2016.

Le Jardin Public constitue un élément incontournable de Cognac, véritable écrin de verdure de 7 hectares situé en plein centre ville. Site classé depuis 1943, il s'agit de l'un des rares jardins paysagers classés ouverts au public.

Ouvert toute l'année sur rendez-vous uniquement. Tout au haut de la colline dominant la vaste plaine traversée par le Chemin Boisne, la voie romaine qui relie Saintes à Périgueux, le château de Bouteville occupe une des plus belles positions de l'Ouest Charente. Dès le milieu du IXe siècle, les premiers comtes d'Angoulême avaient fortifié cette colline pour l'intégrer au réseau de places fortes qui défendait le comté contre les Viking. Au début du XIe siècle le château, alors propriété du seigneur d'Archiac, repasse sous le giron des comtes d'Angoulême par le mariage de Geoffroy Taillefer et de Pétronille d'Archiac. Les Taillefer en font une de leur résidence. Pétronille et Geoffroy fonde alors le prieuré Saint Paul qui sera donné en 1029 à l'abbaye de Savigny dans le diocèse de Lyon. Bouteville devient le point de départ d'un ensemble de possessions de Savigny en Saintonge et la référence dans le développement de l'art roman naissant. En 1176, le château fait partie des nombreuses places fortes remises au Roi d'Angleterre, Richard Coeur de Lion. Pendant la guerre de Cent ans, Jean Sans Terre et le Prince noir séjourneront souvent à Bouteville. Le château est définitivement repris puis rasé par les Français en 1392. C'est Jean d'Orléans, comte d'Angoulême et grand père de François 1er, qui termine la reconstruction du château. Au milieu du XVIe siècle, malgré une courte présence de dix ans, les Montmorency y laisseront leur empreinte en prenant le patronyme de Montmorency-Bouteville. Mais les guerres de religion vont une nouvelle fois ruiner la forteresse. Sous l'impulsion d'Henry IV et de Sully, Bernard de Béon du Masses et son épouse Louise de Luxembourg remplacent la forteresse médiévale en ruine par le château actuel d'un style pseudo renaissance. La construction s'étale de 1594 à 1624. Au XVIIIe siècle, Henri de Hautefort prend possession de la seigneurie et modernise le château. Mais à la veille de la révolution, déjà en mauvais état, le château tombe dans l'apanage du comte d'Artois, futur Charles X. IL en prend possession en 1788 et après son exil, le domaine est vendu en 1803 comme bien national. Débute alors une longue période de décadence durant laquelle les plus belles pierres seront vendues et viendront notamment embellir le château de Bourg Charente. L'église et ses peintures du XIVe siècle sont inscrites sur la liste supplémentaire des monuments historiques en 1965. Le château a été classé monument historique en 1984 et cédé à la commune en 1994. Les visites sont proposées par l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine de Bouteville (ASPB) : Mairie de Bouteville 13 Grand Rue 16120 BOUTEVILLE

L'église paroissiale Saint-Pardoux date du 12e siècle. Elle fut par le passé un ancien prieuré bénédictin. À la fin du 14e siècle, une chapelle funéraire de style gothique a été ajoutée au sud de la nef.

Dès les beaux jours l'Aire de loisirs de l'Ile Madame devient la convoitise des familles et des vacanciers en soif de baignades et de jeux... Ensemble aquatique comprenant un grand bassin, un petit bassin, une pataugeoire et des espaces verts.

A travers les pièces à vivre de cette maison, les meubles et objets conservés ici depuis quatre générations, la visite du jardin et de l'ancienne tonnellerie, c'est l'histoire de l'enfance de François Mitterrand et de sa famille que l'on découvre.

Eglise du XII-XV siècle. Intéressant clocher octogonal reposant sur des bases romanes.

Ce château en pierre de taille calcaire témoigne du grand mouvement de reconstruction qui a suivi la guerre de Cent Ans. Meux dépend alors de Jonzac. Un premier château aurait été édifié au XIIIe siècle, mais l'édifice actuel ne remonte pas au-delà du XVe siècle. Il serait l'oeuvre de Louis Chesnel, noble d'origine bretonne, époux de Blance de La Laigne qui lui apporte cette terre. La famille Chesnel se montre très prolifique et conserve Meux jusqu'en 1712. En 1721, Elie Delaage acquiert le domaine qui reste dans sa famille jusqu'au milieu du XIXe siècle. Des tours et d'autres éléments de défense ont peut être été ajoutés durant le règne de François Ier. U Une transaction intervenue en 1557 et 1558 entre les frères et soeurs Chesnel porte en effet sur « plusieurs et grandes réparations faites pendant le mariage de Jehan Chesnel et Françoise de Puiguirault (leurs parents) au "chesteau de Meulx". La tour d'entrée conserve son escalier à vis. A l'intérieur, les cheminées de pierre et les carrelages sont d'origine. Les bâtiments qui encadrent la cour intérieure ont sans doute été fortement remaniés. À voir aussi, les jardins à la française de la cour intérieure. Tarifs et visites : se renseigner 05 46 48 16 61

Cité dès l'an Mil, le château fut une forteresse médiévale du XI-XII siècle, entre Aquitaine et Angoumois.

Cité dès l'an Mil, le château fut une forteresse médiévale du XI-XII siècle, entre Aquitaine et Angoumois. La famille de La Rochefoucauld opère de grands travaux au XVe siècle. Il reste aujourd'hui de ce vaste ensemble castral, le châtelet d'entrée (la Porte d'Archiac) et le bâtiment dit «des granges». En 2015, des travaux de réhabilitation ont transformé le Château qui abrite désormais un nouveau théâtre. Une saison culturelle pluridisciplinaire (théâtre, danse, humour, objet/marionnette, musique...) y est proposée, ponctuée de temps d'échange avec les artistes. En dehors des visites guidées, vous pourrez découvrir l'histoire du Château en réalité virtuelle en téléchargeant l'application sur votre téléphone mobile. Pour une immersion complète, demandez les lunettes de réalité virtuelle (en prêt) à l'accueil du Château ou à l'Office de tourisme de Barbezieux. (Play Store (Android) ou Apple store (Iphone) > barre de recherche « Château de Barbezieux > installer > ouvrir)