Le prieuré clunisien de Saint-André de Rosans est fondé en 988. Le site conserve les vestiges de ses décors sculptés et de ses pavements, remarquables témoins de l'art roman provençal. Un parcours dans le village médiéval prolonge la visite.

Saint-André-de-Rosans a su conserver de nombreuses traces de son passé prestigieux. On peut y voir notamment les ruines d'un prieuré bénédictin fondé par l'ordre de Cluny au Xe (Monument Historique).

Production locale de lavande et lavandin : Huiles essentielles de lavande et lavandin, savons à la lavande, au miel, mais aussi tilleul, noix, miel de lavande et toutes fleurs en vente à la ferme. Elevage d'ovins de race Préalpes et de bovins race Aubrac.

Le Risou, sentinelle du Rosanais, domine de ses 1181 m, avec son rocher percé et sa chapelle dédiée à Saint-Jean Baptiste. En face, le village se déroule le long de la route depuis le 18ème siècle, ayant délaissé l'ancien village bâti plus haut.

En lisant le Hussard sur le Toit de Jean Giono peut être reconnaîtrez vous le village : " Montjay, bâti sur un noeud assez important de tous petits chemins campagnards, semblait sain et bien tenu. On logeait à pied et à cheval, juste à l'entrée... "

Le vieux village est propriété privé (Pas de visites possibles en juillet et août). Ses environs méritent le détour : les gorges de Pommerol offrent, sur 1500 mètres, une succession de "pénitents" et autres rochers sculptés étonnants.

Le charmant village perché de L'Epine doit son nom à la rareté de l'eau et non pas à l'éperon rocheux sur lequel il s'adosse.

Sur le sommet de la colline qui domine le village s'élève le vieux donjon nommé la Tour de Bruis (XIIème siècle), accessible par un sentier pédestre. Le village primitif de Bruis était autrefois construit en entier sur cette hauteur.

Le château doit sa célébrité à Philis de la Charce, héroïne du Dauphiné. Sa restauration est le résultat de 30 années d'effort.

Un peu à l'écart de la vallée de la Blaisance, le village de Chanousse est perché sur un éperon dominant la vallée dont l'église s'orne sur sa façade sud-est d'un cadran solaire original créé en 2003.

Montauban-sur-Ouvèze est une petite commune située entre Saint-Auban-sur-l'Ouvèze et Laborel sur la D65.

Ce joli petit village perché apparaît sous son plus bel angle depuis le nord-ouest en venant de Buis-les-Baronnies plutôt qu'au sud-est où il est caché par une montagne le séparant de La Rochette-du-Buis.

L'église catholique de Sainte-Euphémie-sur-Ouvèze se trouve dans le village médiéval, face à une charmante placette.

Bésignan est un village situé sur les pentes de la montagne de la Serre de la Croix de fer. Depuis Buis-les-Baronnies, on y accède par le col d'Ey en suivant la départementale 162. Il n'est pas rare d'y voir des brebis passer sur le bord de la route.

Golden dorées, boskop écarlates, poires juteuses et abricots mordorés sont sur toutes les tables du Buëch, à peine cueillis dans leurs arbres assoupis sous le soleil généreux de nos côteaux.

Chapelle médiévale reconstruite vers 1660 afin de devenir une chapelle de pélerinage : Saint-Côme et Saint-Damien. Elle est devenue aujourd'hui un lieu de culture où sont régulièrement organisés des concerts.

Sainte Jalle offre à la visite l'une des plus belles églises romanes de la Drôme. Ancien prieuré clunisien, Notre-Dame-de-Beauvert fut rattachée au diocèse de Sisteron jusqu'au XVIIIè s. Eglise Notre Dame de Beauvert du XIIès.

La petite commune rurale du Bersac domine la vallée du Buëch, entre la montagne d'Arambre et le Révuaire.

Seule demeure privée des Baronnies ouverte à la visite, le château d'Aulan recèle de nombreux souvenirs de famille des Suarez d'Aulan, en particulier sous Napoléon III. Il est construit sur un éperon rocheux dominant la vallée du Toulourenc.

Édifiée entre le milieu du XIe et la fin du XIVe siècle, l'architecture conjugue les styles roman et gothique. Issu des carrières d'Eyguians, le calcaire noir utilisé pour la construction donne au bâtiment une couleur grise très caractéristique.