70 m2 d'exposition Mobilier d'une villa gallo-romaine du premier siècle, construite en même temps que le camp de la VIII ième légion installée en 68 à Mirebeau. Y fut condamnée et suppliciée en 613 Brunehaut, première reine de France. L'occupation mérovingienne est confirmée par la présence d'un cimetière mérovingien à proximité. . Vidéo sur grand écran. ...et aussi outils de menuisiers, charpentiers, tuiles de production locales, situation des tuileries artisanales

Poterie de grès utilitaire avec décors animaliers, épis de faîtage, tuiles faîtières avec chats, chouettes ou autres, selon demande.

Choeur du XIIème siècle, bas-côtés ajoutés au XIVème siècle, nef agrandie au XVIIIème siècle. Peintures murales découvertes en 1999. L'ensemble a été restauré.

Dans le village même, entre deux bras de la Vingeanne, c'est un château classique du XVIIIe s. adossé à une forteresse carrée à bretèches du XIIIe s. On accède à l'étage du corps de logis et à la chapelle par un escalier monumental tandis que la cuisine se trouve en sous-sol. Les pièces du donjon sont ornées de boiseries et de mobilier XVIIe s. Après la visite du château, une promenade s'impose dans le jardin à la française créé en 1753 et dans le parc aux platanes bicentenaires.

Construit en 1765, il est dans le style des constructions de cette époque. Diverses parties sont classées dont le parc qui fut amputé d’une partie de sa superficie lors du creusement du Canal entre Champagne et Bourgogne.

La commune de Mirebeau-sur-Bèze, chef-lieu de canton, avec plus de 2000 habitants, est située sur un axe routier important à une vingtaine de km de Dijon. Elle fait partie de la région naturelle dite du Val de Saône. Arrosée par la rivière la Bèze l'altitude moyenne est d'environ 200 mètres. De son château subsistent deux tours et une partie des murailles qui forment une motte imposante. Les traces des remparts de la ville se situent près de la cure le long de la Bèze et en limite du terrain de football (route de Dijon). Son aire de camping-car, sa piscine municipale extérieure chauffée avec son aire de pique-nique, son marché hebdomadaire le mercredi matin font de cette commune un endroit où il fait bon s'arrêter.

Une 'maison des Champs' coiffée de tuiles vernissées, aussi élégante qu'un hôtel particulier parisien, édifiée en 1723 par l'abbé Jolyot, chapelain du roi Louis XV. L'harmonieuse façade classique cache en réalité trois étages dont un vestibule octogonal couvert de boiseries avec allégories, coquilles et arbalètes et un grand salon donnant sur un parc de 6 hectares.

Entouré des bâtiments d'exploitation agricole, il se présente comme un imposant donjon du XIVe s. fortifié couronné d'une ceinture de mâchicoulis à consoles constituant un chemin de ronde au sommet de l'édifice très bien conservé. On y voit les armoiries des marquis de Saint-Seine, un bel escalier à vis et un pavillon du XVIIe s. décoré de fresques. Visite des chambres d'hôtes, jardins. Visite libre du château : 4EUR par personne (gratuit jusqu'à 18 ans) Visite du château sous forme d'Escape Game Grandeur Nature intitulé Enquête au Château "Le mystérieux plan du souterrain" ! Pour sortir du château ? Une seule solution : trouver le nom du coupable, grâce à des énigmes au fur et à mesure de la visite du château ! Tous les jours, toute l'année de 10h à 18h. Sur réservation, de 2 à 8 participants (dès 16 ans). Tarif du jeu : 15 Euros par personne (visite du château incluse) Chasse au trésor intérieure ou extérieure pour enfants : 4EUR (surprise à la clé !) Découvrez notre site Internet : https://chateauderosieres. Webnode. Fr/

Cette église possède un tympan remarquable du XIIIe siècle.

Abbaye bénédictine Saint-Pierre de Bèze (classée i. S.m. H.) Fondée en 630, l'abbaye bénédictine Saint-Pierre de Bèze est l'une des plus anciennes de Bourgogne : elle fut en effet la quatrième des abbayes mérovingiennes du diocèse de Langres (après Moutiers-Saint-Jean, Saint-Bénigne et Saint-Seine). Ses bâtiments subsistants, qui datent pour l'essentiel du XVIIIe siècle - à l'exception des restes d'une chapelle du XIIe siècle - sont les témoins d'une histoire qui embrasse donc plus d'un millénaire, du début du VIIe s. à la Révolution Française, où elle fut vendue comme bien national. Visite libre de l'Abbaye, du Parc et du Jardin de fleurs (dont 200 variétés de roses anciennes), avec un guide imprimé fourni.

Une promenade en barque sur la rivière souterraine.

Nacia esperanto muzeo : visite sur réservation. 10 salles d'archives et expo permanente. Bibliothèque de 6000 ouvrages et 1400 titres de revues.

Demeure du XVIe siècle ayant conservé de très beaux éléments d'architecture intérieurs, elle doit sans doute son nom au fait qu'elle abrita un temps un jeu de Paume, alors appelé Tripot.

L'église primitive du XIIe siècle, détruite par les guerres de Louis XI, fut reconstruite entre 1478 et 1559. La façade occidentale ne fut terminée qu'en 1863, par le porche néogothique. Le tympan, martelé à la Révolution, fut sculpté par Grandgirard. L'intérieur du bâtiment est très représentatif du dernier gothique comtois. Les piliers dépourvus de chapiteaux reçoivent directement les arrêtes de la voûte, à noter l'absence de niveau intermédiaire entre les grandes arcades et les fenêtres hautes du vaisseau central de la nef, recherche de la verticalité...

La chapelle, construite en 1667, est transformée en 1978 en dépôt départemental d'art sacré, dont la vocation est de protéger les objets religieux provenant des différentes communes du département de la Haute-Saône. Aujourd'hui, elle est rattachée au Musée départemental de Champlitte

Le Musée Baron Martin se trouve dans le somptueux château du Comte de Provence à Gray. Labellisé « Musée de France », venez découvrir nos 14 salons dédiés aux beaux-arts. C'est Prud'hon, c'est Tissot, c'est Boucher, c'est Van Loo, c'est Van Kessel, c'est Monticelli... C'est tout l'art et c'est un rêve ! Le musée Baron Martin c'est aussi une galerie d'archéologie.

Ce circuit traverse un grand massif forestier parsemé d'étangs. Le village de Bourberain est tapi dans son coin de verdure contre la forêt de Velours. Mais le point d'orgue de la balade, en dehors du site naturel remarquable de l'étang sauvage de Bessey, sera certainement le village de Bèze. Des vieilles demeures pleines de charme, jalonnent les rues qui conduisent à la source vauclusienne et aux grottes. Et les grottes sont incontournables !

Classé parmi les plus beaux châteaux de la région, il incarne la perfection classique des grandes demeures françaises du Siècle des Lumières. Du vaste parc architecturé de tilleuls taillés en portiques au corps de logis de style Louis XV avec mobilier et décoration d'époque, il offre une remarquable unité de style. Dans les salons d'apparat, la salle des gardes et les appartements flotte le souvenir de ses belles châtelaines, Honorine de Grimaldi, princesse de Monaco et Madame de Saint Julien qui tenait un salon littéraire brillant fréquenté par Voltaire et madame de Staël.

Présence d'un étang de 80 ares autour duquel s'articule un jardin de 3 ha traversé par un ruisseau. Plantation datant des années 1972-1975, arboretum de près de 350 variétés d'arbres et d'arbustes. Jardin d'agrément , étang, pont de jardin, ile artificielle. Visite sur rendez-vous. Document sur les essences d'arbres . Collection d'hortensias.

Ancienne demeure de parlementaires, le château d'Arcelot est la première construction néoclassique de Bourgogne (1761 à 1764). Entièrement meublé, le Château d'Arcelot vous permettra notamment de découvrir le Grand Salon qui, selon l'historien Courtépée (1775), était le ''plus beau salon que l'on connaisse en Bourgogne''. Vous pourrez également visiter une douzaine de pièces, dont la "Chambre du Tsar" et son mobilier XVIIIè, mais également le Parc Paysager de 45 ha (avec étang, pavillon chinois, animaux, etc.) réalisé vers 1800. Aujourd'hui, cet ouvrage est ainsi l'un des seuls parcs paysagers qui subsiste de l'architecte Jean-Marie Morel, qui participa notamment à l'aménagement du parc du château de la Malmaison, demeure de l'épouse de Napoléon Ier.