Ce cimetière, constitué en 1920, se trouve dans l'enceinte de la nécropole française de Soupir, et abrite 11 089 corps de soldats allemands tombés sur la zone reliant Soissons à Reims au cours des années 1914, 1917 et 1918

En octobre 1918, les troupes du général italien Albricci délogèrent les Allemands qui avaient repris cette commune de la vallée de l'Aisne au printemps précédent. Des panneaux d'exposition en mémoire des Italiens sont présentés.

Détruite en 1917 lors des combats du Chemin des Dames, l'église fut rebâtie au même emplacement entre 1928 et 1930 en tentant de ré-employer au maximum les matériaux de l'édifice antérieur. Même si son plan fut légérement modifié, il domine toujours actuellement la commune de Paissy... Signalons qu'un pupitre d'interprétation du circuit routier en Pays de Laon Par monts et merveilles figure devant l'édifice.

Une halte s'impose dans ce haut-lieu mémoriel du Chemin des Dames à ne pas rater et qui vient d'être inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO (septembre 2023)...

Eglise Abbatiale Saint-Yved du XII siècle. Elle fut la nécropole de la famille Bourbon-Dreux. Marquée par les vicissitudes de l'histoire, elle témoigne pourtant encore des premiers âges du gothique. Visite libre ou guidée sur réservation auprès de l'Office de Tourisme.

Dans le cadre des Journées du Patrimoine l'association « Les Amis de l'Abbatiale Saint Yved » vous propose une représentation historique de l'église, dans l'ambiance musicale et lumineuse.

Emma et Victor sont les parents de Lila. Alors qu'elle fête ses 14 ans, Lila commence sa crise d'ado et passe d'une enfant parfaite à une adolescente insupportable. Victor tente d'apaiser les tensions mais entre mère et fille, la guerre est déclarée ! Tous les coups sont permis et plus question d'être adorables...

L'association « Les Amis de l'Abbatiale Saint Yved » vous propose une représentation historique de l'église, dans l'ambiance musicale et lumineuse.

Une comédie dans la plus pure tradition française De Pascal Rabaté Avec Yolande Moreau, Gustave Kervern, François Morel Un clan vit à rebours de la civilisation, dans l'inframonde d'une décharge. Cette mini-tribu recycle en toute illégalité notre rebut pour s'aménager de manière étonnante un hameau de bric et de broc. La vie pourrait ainsi couler si une équipe policière ne se mettait sur leurs traces...

SYNOPSIS : L'histoire de Paul Atreides, jeune homme aussi doué que brillant, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car s'il veut préserver l'avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planète la plus dangereuse de l'univers - la seule à même de fournir la ressource la plus précieuse au monde, capable de décupler la puissance de l'humanité. Tandis que des forces maléfiques se disputent le contrôle de cette planète, seuls ceux qui parviennent à dominer leur peur pourront survivre...

Préoccupé, Max est parti dans sa maison au bord de la mer pour se ressourcer. Sa bande de potes, qu'il n'a pas vue depuis plus de 3 ans débarque par surprise pour lui fêter son anniversaire ! La surprise est entière mais l'accueil l'est beaucoup moins... Max s'enfonce alors dans une comédie du bonheur qui sonne faux, et qui mettra le groupe dans des situations pour le moins inattendues.Les enfants ont grandi, d'autres sont nés, les parents n'ont plus les mêmes priorités... Les séparations, les accidents de la vie... Quand tous décident de ne plus mettre de petits mouchoirs sur les gros bobards, que reste-t-il de l'amitié ?

Fin XIXème, Joseph Ferdinand Cheval, est un simple facteur qui parcourt chaque jour la Drôme, de village en village. Solitaire, il est bouleversé quand il rencontre la femme de sa vie, Philomène. De leur naît Alice. Pour cette enfant qu´il aime plus que tout, Cheval se jette alors dans un pari fou : lui construire de ses propres mains, un incroyable palais. Jamais épargné par les épreuves de la vie, cet homme ordinaire n´abandonnera pas et consacrera 33 ans à bâtir une oeuvre extraordinaire : "Le Palais idéal".

Ce cimetière est un lieu unique sur le sol français. Il rend hommage aux 79 Schlesvigois morts entre 1914 et 1918. Originaires du Slesvig, territoire annexé par la Prusse en 1866 redevenu danois en 1920, ces soldats ont se sont sacrifiés pour une cause qui n'était pas la leur. Ce cimetière de Braine est donc une sorte de symbole de la lutte des Slesvigeois pendant la Grande Guerre. Les stèles en pierre blanche dévoilent davantage l'identité des hommes que leur appartenance militaire. Le monument dessiné par l'architecte danois Gundlach-Petersen a été inauguré le 7 mai 1934 en présence des représentants du gouvernement danois et français.

En 1864, les Danois perdent la seconde guerre des Duchés et la province du Slesvig (Schleswig en allemand) au profit de la Prusse. C'est ainsi que la guerre de 1914 voit participer au sein du contingent allemand 6000 combattants danois malgré eux.

Pour la deuxième année consécutive, les artistes Paquita Milville et Marine Coutelas vous proposent de nouveaux ateliers en reprenant comme point d'ancrage l'art de la table, et une mise en relation avec des pièces de la collection du Musée de Vassogne. Se retrouver autour du feu sera l'axe central du projet, autour duquel des ateliers de modelage d'argile se déploieront... Et ce samedi aura lieu un atelier autour de la cuisson de pain, de céramiques et la lecture de récits et contes (passage libre toute la journée, à partir de 10h) RV au musée de Vassogne aux horaires indiqués (jauge limitée à 10 adultes par atelier, réservation obligatoire)

Cette chapelle domine la vallée de l'Ailette, au-dessus de la commune de Filain et du plan d'eau de Monampteuil. Ce lieu était un pèlerinage très fréquenté jusqu'en 1940, notamment en raison de la présence, à proximité d'une source réputée pour guérir les fièvres. L'emplacement de cette chapelle fut l'enjeu de combats récurrents, depuis 1814 où elle fut incendiée par des Cosaques, avant d'être entièrement détruite pendant la Première Guerre mondiale. Le bâtiment actuel a été édifié en 1932, à l'initiative de la famille Leduc, propriétaire en 1914 de la ferme de la Royère.

Très bel édifice roman, restauré après 1918, il a conservé un beau chevet, une cuve baptismale (XIIe) et un portail occidental richement décoré : quatre arcs en plein cintre ornés de cubes, palmettes, monstres et personnages étranges (dont un homme nu avec la tête en bas)...

Erigée au XIIe, cette église fut en grande partie restaurée après 1918. Elle n'en conserve pas moins un tombeau en pierre sculptée (XVe), de nombreuses dalles funéraires (XVII et XVIIIe), et une armoire-reliquaire (XVIe) d'un type unique dans le département. A noter aussi des traces de peintures murales visibles au niveau du choeur. Et lors de votre passage, ne ratez pas l'ancienne chapelle de Courtecon située à un peu plus de 2 km de la commune, demeurée seule au milieu du village disparu...

En 2007 fut inauguré cet ensemble monumental composé de neuf figures de bois calciné d'une hauteur de 6 mètres chacune, intitulé Constellation de la douleur et situé à proximité de la Caverne du Dragon. De ce fait, il est librement accessible chaque jour. Il fut créé par le sculpteur rémois Christian Lapie, et commémore le sacrifice de milliers de soldats africains enrôlés sous le drapeau français et tombés sur ces pentes du Chemin des Dames lors de l'offensive Nivelle en 1917...

Cette soirée mêlera pique-nique au pied des sculptures de Christian Lapie et projection du film "Au revoir là-haut". Ce long-métrage, réalisé par Albert Dupontel en 2017, traite du trauma et des gueules cassées et prend un sens tout particulier à la Caverne du Dragon... RV aux abords du Centre d'Accueil du Visiteur du Chemin des Dames · Caverne du Dragon à partir de 20h (pour le pique-nique) et à 21h30 (pour le début de la projection)...