1 court extérieur.

Cette église fortifiée date du XIIIème siècle. Cet édifice roman est de forme rectangulaire. Les contreforts sont utilisés pour soutenir le poids de la voûte et la charpente de l'église. Le portail, datant du XVème siècle, est en tracé brisé avec de minces colonnettes. A droite du portail se trouve l'ancien autel de l'église avec une croix. L'Eglise a un clocher-porche datant du XVème siècle, construit dans un but de défense. Ce clocher, rectangulaire, possède trois étages reliés par une tourelle d'escalier en vis. Chaque étage est percé d'une ou de deux baies à double usage de tir de guet. Le dernier niveau du clocher est percé de quatre longues et étroites archères de jour. Une flèche tors, en charpente, surmonte ce clocher.

Aucune grosse difficulté sur ce circuit, même si la côte au sud de Teillabon est un bon test de forme. Attention toutefois à la descente entre les ribières et le Peyrat, elle peut être piégeuse.

Le site des Combes de la Cazine se situe au nord-ouest de la Creuse. Il est très facilement accessible depuis le bourg de Colondannes, où il est indiqué. Le nom, à lui seul, évoque les deux grands traits identitaires du lieu : des escarpements rocheux et un cours d'eau. Les Combes, formant d'étroites vallées, sont liées à une faille géologique alignée d'ouest en est. Cette zone de cisaillement dévoile les formations granitiques du secteur en laissant apparaître des micros-falaises, ainsi que des blocs rocheux de tailles très diverses. Cette bande accidentée traverse le nord du site et favorise naturellement l'installation de landes à bruyères. Irriguant toute la zone d'étude, la Cazine s'apparente à une artère ; la rivière sillonne la vallée qui s'élargit dès la sortie de l'espace faillé, laissant la place à des pentes plus douces et des paysages plus verts. Historique du site

Départ église de Colondannes, coté auberge

Départ parking place du 19 mars 1962 Cette balade bucolique le long du ruisseau de la Cazine permet de découvrir une végétation remarquable représentative des différents paysages creusois : landes à bruyères, blocs granitiques, eaux bouillonnantes...

L'Eglise forme avec l'ancien presbytère et tour carré, un très bel ensemble architectural de caractère constituant, à l'origine un prieuré. Le premier document connu qui parle de l'église indique que, vers 1080, "Guy, évêque de limoges, donna l'église de Colondannes au monastère de Bénévent". La partie Ouest aurait été reconstruite partiellement et rattachée à la partie Est au XVIIème siècle. A la même époque, d'autres travaux importants ont été réalisés comme en témoignent deux dates : 1648 sur les fresques les plus récentes et 1688 sur le bénitier de la porte d'entrée. Cette église était, à l'origine, surmontée en son milieu, d'un clocher-mur. La construction du beffroi actuel date de 1868. Il contient toujours la cloche baptisée le 23 novembre 1868. Entre 2002 et 2012, l'édifice a été entièrement restauré, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, depuis le gros oeuvre jusqu'aux vitraux et

Possède une chapelle funéraire du XVIème, voutée d'ogives avec liernes et tiercerons, qui devait abriter les sépultures des seigneurs voisins. De part et d'autre de la baie de cette chapelle, sont placées deux statues, de facture populaire en bois polychrome représentant Saint Léger, patron de la paroisse et Saint Roch. Elles semblent dater du XVIII.

Départ près de l'église.

Cette église de style roman, de la fin du XIème siècle et achevée au XIIème siècle a été surélevée et fortifiée au XIVème et XVème siècle. Sa longueur totale est de 31, 5 mètre. Le portail Ouest, en plein cintre, a deux voussures et des colonettes à chapiteaux ornés de masques humains. L'abside a une corniche sur modillons sculptés (têtes humaines); dans le mur Nord de l'édifice des modillons de l'ancienne corniche ont été conservés lors de la surélévation. Il y a des ouvertures rectangulaires, des trous de hourds et des traces de meurtrières. Son clocher rectangulaire, terminé par une flèche en charpente, s'élève sur la croisée du transept. Il reste quelques contreforts romans. Eglise classée Monuments Historiques par arrêté du 16 août 1922.

Agréable randonnée, très contrastée, qui se partage entre passage en plaine et parcours sur les flancs des collines. L'on passe du petit vallon champêtre formé par le ruisseau du Mas au secteur plus sauvage des combes de la Cazine. Le panorama est bien dégagé, les ambiances intimes, et les ruisseaux glougloutent plus ou moins fort selon la saison.

623 ha de bois, ruisseaux de Champotier, de l'Isle, la Chassidouze et une superficie de 3085 ha qui en font le paradis des pêcheurs, chasseurs et randonneurs. En lisière du bois du Bois de Chabanne, dont la plus grande partie est située sur Saint-Sulpice le-Dunois, ne manquez pas au village du Mas-Saint-Jean, une Chapelle, probablement du XIIe siècle, dédiée à St Jean, où dit- on, Jeanne d'Arc aurait prié vers 1430. Cette chapelle serait le seul bâtiment restant du château féodal de La Bastide qui était propriété au XIV/ XVe siècle de Jean de Brosse, compagnon de Jeanne d'Arc. Située au croisement de deux routes, elle est dominée par un tilleul remarquable âgé de plus de 400 ans (1er prix des arbres remarquables du concours Arbres en Marche 1994). Dans la traversée du bois, presque à son sommet en bordure de la RD 913, la « Font d'ô loup » est signalée par une pierre haute de la form

Ce mini circuit permet de musarder le long du ruisseau de la Cazine, au débouché des combes, là où de nombreux moulins furent jadis aménagés pour tirer profit du cours d'eau -ambiance bucolique assurée. Le parcours mène au fameux pont-planche disposé en une lointaine époque pour, raconte-t-on, permettre au seigneur sis à la place forte de Chatillon de rejoindre l'église de St Léger-Bridereix en franchissant à pied-sec la Cazine.

La Grande Cazine, c'est un magnifique étang de 54 ha, en partie ouvert à la pêche à la carpe et aux carnassiers. Ponton d'accès PMR et espace sanitaire sur place. Cartes de pêche à la demi-journée, à la journée et à la semaine en vente au magasin La Sout Pêche (La Souterraine) et sur place à l'étang (Noth).

Circuit roulant dans son ensemble, on a la sensation "d'aller vite". Le passage par les bois de Chabannes, l'accès au sommet se mérite. Attention à la descente piégeuse entre les Ribières et le Peyrat. Prudence également lors de la traversée de la D5, à deux reprises.

Les étangs de la Cazine forment un ensemble complexe de plans d'eau composés principalement de l'étang d'Argent, de la Petite Cazine et de la Grande Cazine. Connectés entre-eux, ils représentent des écosystèmes variés et fragiles, dont les espèces sont inféodées à la présence de l'eau. Oiseaux migrateurs ou nidificateurs, invertébrés, amphibiens, plantes et arbustes de rives, rongeurs arboricoles... Un plan de gestion supervisé par le conservatoire d'espaces naturels vise à faire de ces étangs un réservoir protégé de la biodiversité.

Pêcheur de truites, Ghislain pratique sa recherche dans l'esprit du prendre et du relâcher (No kill), à l'aide de techniques adaptées comme le toc, la mouche ou la Tenkara, technique ancestrale japonaise du IXe siècle. Ghislain est guide de pêche au Tenkara. Le Tenkara est un art qui s'appuie sur la faculté de se fondre à son environnement, de se mouvoir, d'écouter, de respirer au rythme de la rivière. Technique de pêche minimaliste, esthétique, les "moucheurs" et surtout les pêcheurs 100% débutants se doivent de l'essayer. Pêche aux appâts naturels. Concept : une canne sans moulinet, une ligne et une mouche une gestuelle très simple : lancer et poser devant soi. On y arrive à tout âge.

Le randoguide des étangs de la Cazine a été réalisé en partenariat avec le Conservatoire d'Espaces Naturels et l'association locale A4P. Il met en lumière un patrimoine exceptionnel autour de deux étangs actuellement en conversion écologique. L'itinéraire agréable alterne les points de vue distants et les parages immédiats de ces milieux humides. Dans la mesure du possible, pensez à vous équiper d'un smartphone pour bénéficier des informations distillées tout au long du parcours.

L'ancienne ligne de St Sébastien à Guéret, longue de 45 kms environ, a fonctionné de 1886 jusqu'en 1940 pour les voyageurs et en 1952 pour les marchandises. Impactée par le développement des infrastructures routières et par une décision de la SNCF, elle a fermé définitivement le 18 mai 1952. Déposée à partir du 16 août 1955, la ligne a été rétrocédée aux communes, puis parfois à des particuliers qui se sont portés acquéreurs des maisonnettes, à partir de 1959. La réouverture du tracé de l'ancienne voie ferrée, appelée aujourd'hui « l'Echappée verte », a été réalisée grâce à la Communauté de communes du Pays dunois et au travail de nombreux bénévoles durant 2022 et 2023. L'Echappée verte est désormais accessible aux activités de loisirs : randonnée pédestre, VTT, promenade équestre, etc.

Tout est bon dans l'autruche ! Sauf, peut être, le caractère... Dans l'élevage de Beaupré, ces dames aux jambes fines se laissent toutefois observer. Et vous proposent, après la visite, de découvrir les multiples produits qu'elles permettent de fabriquer. Vente de viande, saucissons, terrines, oeufs frais et décorés, maroquinerie, plumes, cosmétiques...