Watt est un collectif de cinq créateurs. Jérôme Pereira, sculpteur de pièces en bois et verre soufflé Pierrick Desville, créateur de lampes industrielles et vintage Fanny Barrabès, Artiste. Réalise des dessins, des illustrations et avec des écritures spontanées qui se heurtent, s'entremêlent ou s'effleurent. Des mots se répètent, se transforment pour se mêler au dessin et raconter ce que l'on veut y lire. Raphaëlle Barbet est la fondatrice de Manga Rosa. Dans sa démarche artistique elle propose d'explorer l'espace avec son oiseau emblématique, la grue origami, dans une installation de cadres, de cages, de lumières, d'images et de nids. Virginie Fantino fabrique des bijoux qui sont la rencontre d'un élément naturel, corporel, primitif face à un métal travaillé. Scié, limé en fonction de la forme qu'il accompagne pour trouver l'osmose. La philosophie du collectif est triple : o Présenter les créations de ses membres o Promouvoir la création contemporaine o Offrir un lieu de vie, de rencontre, de fête...

L'expérience sportive n'en sera que plus belle ! Tribu propose au quotidien un planning d'activités de sport et de bien-être, en plein air, dans divers lieux agréables et atypiques de Marseille. Un peu comme une salle de sport, mais outdoor ! Vous trouverez plus d'infos sur notre site web. Des lieux privilégiés? Lieux d'exception ou coins de verdure, Tribu choisit les meilleurs spots de Marseille pour pratiquer l'outfit : parc Borely, plages du Prado, esplanade du Mucem et de la Major, parc du 26e Centenaire, parc Longchamp...?Au-delà de la pratique du sport, Tribu a à coeur de vous faire vivre une expérience ! De la convivialité? L'une des raisons qui nous poussent à faire du sport est souvent la volonté de se vider la tête. Il est donc primordial de prendre du plaisir à travers sa pratique. ?L'état d'esprit Tribu: pas de prise de tête, juste le plaisir de se retrouver ! Le sport pour tous? Homme ou femme, jeune ou moins jeune, débutant ou expert...la Tribu est plurielle, accessible, et s'adresse à tout le monde. ?Personne n'est oublié : séniors pour jeunes mamans ou jeunes papas qui souhaitent faire du sport tout en gardant leur bambin dans la poussette ! Les coaches? Accompagnement, sécurité, motivation, progression, animation...sont des principes fondamentaux pour Tribu. ?Des coachs professionnels, passionnés, et spécialistes de leur discipline vous encadrent et vous transmettent leur énergie pour vous donner l'envie d'atteindre vos objectifs. Evénements ?Organisation des "afterworks du sportif" avec séances outfit dans des lieux insolites et symboliques de la ville, suivi d'un moment "ambiancé" en musique.?

Théâtre de plein air accueillant des manifestations au printemps et en été. Le Théâtre Silvain est un théâtre de verdure capable d'accueillir environ 2800 personnes. Il a été ouvert le 14 juillet 1923 par Eugène Silvain et sa femme, Madeleine, tous deux sociétaires à la Comédie-Française, sur un terrain acheté par Dominique Piazza, l'inventeur de la carte postale. Pour la petite histoire, on raconte qu'au cours d'une promenade sur les lieux avec leurs amis, le couple Silvain fut frappé par la qualité acoustique d'une discussion entre des joueurs de boules au fond du vallon : Madeleine Silvain ayant alors rejoint les boulomanes entonna une retentissante Marseillaise. Il n'en fallut pas plus pour qu'il soit décidé d'installer un théâtre de verdure en ces lieux. Ce théâtre de plein air a été entièrement rénové en 1999 et a retrouvé tout son lustre.

Une des premières, sinon la première association à proposer l'enseignement du tango argentin à Marseille.

SALON DU SALON est un espace d'art situé dans le double salon d'un appartement, lieu dans lequel est proposé un accrochage domestique lié à l'édition. Structure associative, de production, promotion, diffusion, d'expositions, d'éditions et multiples d'artistes. SALON DU SALON est membre du réseau Marseille Expos, plateforme de promotion de l'art contemporain à Marseille.

Dans certains squares, les aires de jeux restent utilisables mais sont placées sous la responsabilité des parents qui doivent s'assurer du respect des consignes sanitaires et, notamment, la distanciation physique. Au détour de la Corniche (après le pont de la Fausse-Monnaie), un promontoire dominant la rade de Marseille et ses îles abrite la villa Valmer et son parc luxuriant. Ses proportions et son architecture font que cette villa s'apparente davantage à un petit château. Elle fut édifiée, à la fin du siècle dernier, par un riche négociant salonnais, Charles Gonnelle.La villa portait à l'origine le nom de "Vague à la mer" qui se contracta en Valmer.L'allée, qui serpente vers l'un des plus beaux points de vue de la ville, s'élance en lacets au coeur d'une végétation exotique (palmiers : trachicarpus fortuneï excelsa, chamaerops humilis, washingtonias filifera, phoenix canariensis, buttias capitatia) et endémique d'une rare beauté. Parmi ces essences, on rencontre, les espèces arborées indigènes (oliviers, pins d'Alep, chênes verts, pistachiers, lentisques, arbousiers) et des vivaces en cascades : dimorphotecas, lantanas agathaea,carpobrutus, lavandes, arctotis. Dans le style des rocailleurs du XIXème siècle, une rocaille épouse la déclivité des talus. Fausse pierre, faux rochers aux formes rondes étranges sont sculptés dans le ciment et adoucis par d'harmonieuses compositions de plantes vivaces.

Dans certains squares, les aires de jeux restent utilisables mais sont placées sous la responsabilité des parents qui doivent s'assurer du respect des consignes sanitaires et, notamment, la distanciation physique. Situé au pied de la colline de Notre-Dame de la Garde, ce jardin de 1,1 hectare accueille le début de l'ancien chemin de pèlerinage pour accéder à la basilique. Les versants nord et sud de la colline sont plantés de pins d'Alep, cyprès, chênes verts, cèdres et oliviers. Aménagements récents : pelouses, cheminement piétonnier dans la pinède, jeux de boules et terrains de sport. Ce jardin n'est pas clos : il est donc toujours accessible.

Surplombant la mer, le mémorial des Rapatriés, oeuvre du sculpteur César (1971), représente une pale d'hélice de navire en bronze d'un poids de 20 tonnes (une seule car elle symbolise l'aller sans retour des rapatriés.

Vous sillonnerez le bord de mer, Notre-Dame de la Garde, l'abbaye Saint Victor puis le centre-ville de Marseille, l'esplanade du Mucem. Ce tour dure près de 3h30 pauses comprises. Vous pourrez contempler et même prendre des photos des sites suivants : le quartier du Panier, l'esplanade du Mucem la cathédrale de la Major, le Vieux Port, le Pharo, le port de Malmousque, le vallon des Auffes, la Corniche, Notre-Dame de la Garde (la Bonne Mère), et l'abbaye de Saint Victor...et bien d'autres encore. Des arrêts restauration et achat souvenirs ponctueront le parcours, sans obligation. Votre guide vous racontera des anecdotes historiques ou non sur les différents points d'arrêts. Vous passerez par des ruelles et des coins que seuls les Marseillais connaissent. Et grâce à vos vélos électriques, vous n'aurez pratiquement pas d'effort à fournir.

La Corniche. Cette belle promenade dominant la mer depuis l'anse des Catalans jusqu'au Parc Balnéaire du Prado permet de découvrir de magnifiques points de vue sur les îles du Frioul et le château d'If. En 1848, on décide de créer une route en bord de mer afin de donner du travail aux nombreux chômeurs de l'époque, c'est la création des Ateliers Municipaux et l'embauche de 8 000 ouvriers. La voie, large de 25 m, est ouverte en deux tronçons, le premier jusqu'à l'anse de la Fausse Monnaie et le second jusqu'au Pharo, résidence impériale de Napoléon III. Les travaux ont duré 15 ans. Dès les années vingt, la Corniche devint un lieu de promenade très fréquenté par les Marseillais grâce la ligne de tramway qui la desservait et qui pouvait accueillir jusqu'à 20 000 passagers le dimanche avec un départ toutes les 5 minutes ! La promenade fait aujourd'hui 5 km de long. Elle a été réaménagée à la fin des années cinquante et baptisée Corniche J. F. Kennedy en 1963. Dressée en surplomb de la mer, on y remarque une immense pale d'hélice, sculpture réalisée par César, enfant de la ville, en 1971 en hommage aux rapatriés d'Afrique du Nord... L'ouverture de la Corniche dans sa totalité sous le Second Empire est l'occasion pour la bourgeoisie marseillaise fortunée de faire construire de somptueuses villas. Il est alors de bon ton de n'y séjourner que peu de temps, au printemps, juste avant le départ estival pour la bastide. Les négociants et armateurs s'entourent d'architectes et de sculpteurs de renom pour se faire bâtir des sortes de "folies" dont la fantaisie n'est pas sans évoquer le XVIIIe siècle. En effet, les références historiques sont nombreuses pour peu que l'on observe les villas dont les plus remarquables restent le Château Berger et la Villa Valmer. La Villa Valmer, la villa " Vague à la Mer ", est édifiée dans les années 1865 par l'architecte marseillais Condamin, dans un style renaissance, au sommet d'un vaste parc planté d'essences végétales tropicales rapportées de ses voyages en Orient par le propriétaire, un riche négociant en oléagineux. La villa appartient aujourd'hui à la Ville de Marseille. Château Berger a été bâti pour le baron Houitte de la Chesnaye en 1860 dans le style renaissance française du Château de Chambord. C'est aujourd'hui un centre de thalassothérapie. À côté de ces folies architecturales, un certain art de vivre marseillais demeure dans le petit port de pêche du Vallon des Auffes, où il fait bon déguster bouillabaisse et autres spécialités locales.

Le Quai du Rire, c'est LE café-théâtre de Marseille ! 2 salles, 2 ambiances, pour venir rire aux meilleurs coups de coeur de la comédie. Notre grande salle de 110 places et notre comédie club " Espace Kev Adams" vous accueillent tout au long de l'année pour voir en toute intimité les grands noms de demain ! Espace Bar Restauration ouvert les soirs de spectacle de 19H à 21H30.

Un espace d'exposition pour les artistes et un atelier de cours de peinture.

L'atelier 108 est un lieu culturel tenu par Marie-Laure Sasso-Ladouce, artiste-peintre. Expositions d'art contemporain.

" Le théâtre, c'est la vie : ses moments d'ennui en moins ", disait Alfred Hitchcock. Alors passez la porte de l'Art dû, lâchez prise, laissez vous emporter dans un tourbillon de passion, de bonne humeur studieuse. Quand le travail est un plaisir, la vie est belle ! répète à l'envi Stan, le maître des lieux. A 36 ans, et après une quinzaine d'années de gestion de lieux, ce trentenaire ouvre, " enfin " vous diront nombre de ses proches, le lieu qui lui trottait dans la tête depuis des années, avec une seule, et lourde, ambition : transmettre l'amour du théâtre. Le proposer comme un dû, auquel chaque citoyen doit pouvoir avoir accès. A l'heure des subventions publiques en berne, du statut précaire des artistes, c'est de ce souhait qu'est né le nom de son antre. L'art dû vous accueillera à n'importe quel âge, et comme vous êtes. Vos enfants, dès un an, découvriront les marionnettes, les contes, la magie, la danse, la ventriloquie. Vous pourrez enfin réaliser ce vieux rêve de monter sur les planches, dans la section " loisir ", parce que la vie est trop courte et qu'il est vraiment temps de vous lancer ! Ceux qui ont déjà gouté à l'ivresse de jouer en public pourront, dans le groupe " avancé ", étancher leur soif de progresser, de se libérer encore et toujours. Et vous qui voulez vivre du théâtre voire du cinéma, l'Art dû vous préparera afin de séduire les directeurs de castings. Le lieu sera ainsi consacré aux acteurs, de tous niveaux, du lundi au mercredi. Ceux qui se suffisent parfaitement du statut de spectateur seront servis chaque soir, du jeudi au samedi. Au programme : 80% de rires avec des seuls en scène ou des comédies mais également 20% de théâtre dramatique. Les vrais puristes se délecteront de 4 temps forts " classiques " dans l'année. Et comme l'Art dû se veut devenir un bouillon de culture, pluriel, mais tout à fait singulier en son genre à Marseille : la photo, la vidéo, les arts créatifs, feront doucement leur entrée, tout comme des " cafés philo ". -RC-

Bureau créatif vidéo, photo et musique. L'Appart est le nouvel espace de création partagée, de production et d'exposition implanté aux abords de plus en plus "tendances" de la rue Sainte depuis le 1er novembre. Le plateau de 60 m2 réuni à la fois les bureaux, le studio et la galerie de trois artistes souhaitant mettre en commun leurs univers. Matthieu Parent, le photographe, Eric Hadzinikitas le vidéaste et Julien Daian le saxophoniste, compositeur, producteur : produire ensemble mais aussi être soutenu dans ses projets individuels par le collectif et s'appuyer sur l'Appart pour défendre la création "une ambition d'entraide dans un temps où les artistes et les entrepreneurs s'essoufflent dans l'isolement" explique Matthieu. Pour Eric et Julien : "L'Appart, c'est un lieu de stimulation pour tes propres projets mais c'est aussi un lieu où tu peux produire collectivement. C'est comme notre espace, c'est modulable."

Dans certains squares, les aires de jeux restent utilisables mais sont placées sous la responsabilité des parents qui doivent s'assurer du respect des consignes sanitaires et, notamment, la distanciation physique. Aire de jeux, plan d'eau, parking. Le bassin d'eau fût créé au XIXe siècle. De bois et de sable, l'espace des tous petits symbolise le passé. Les oeuvres originales de l'atelier de Launay, une rivière sèche, une fontaine de sable, sont de bois sculptés dans la masse.

Galerie1809 est une nouvelle galerie d'art contemporain marseillaise " hors les murs ", créée par des artistes marseillais pour des artistes : tous se connaissent, ont un vrai lien, la plupart sont marseillais et tous sont impliqués dans le développement de la galerie. Galerie1809 tient à créer un maximum d'échanges et de connexions entre les artistes eux-mêmes, entre les artistes et les amateurs d'art et collectionneurs, entre les artistes et les entreprises et institutions, entre la galerie et la ville de Marseille. La galerie organise à Marseille et dans la région des expositions régulières, des visites d'ateliers, des partenariats entreprises, des mises en relation. Grâce à son expertise et ses réseaux, l'équipe de la galerie accompagne les artistes, valorise les oeuvres et s'emploie à les faire découvrir au plus grand nombre. Les trois fondateurs, Sébastien Arcouet (artiste), Florent Touchot (artiste) et Marina Leprince-Ringuet (web) sont établis à Marseille.

La galerie Dialogue, créée en 1996, représente principalement des artistes espagnols et d'Amérique Latine. Dans sa galerie du Marais à Paris elle a exposé des artistes de grande renommée comme Alechinsky, Chillida, Pignon Ernest Pignon, Saura, Tapies, Viallat et s'est attachée surtout à promouvoir de jeunes artistes. Le nouveau lieu d'exposition à Marseille, ouvert depuis peu est destiné à des artistes en résidence. Elle participe à des foires Internationales et depuis 2002 dans des Centres d'Art Contemporains. Art Miami, Art Santa Fe, Palm Spring Art Fair, London Art Fair, Centre Culturel de la Catalogne (Paris), Espace Jean Legendre (Compiègne), Centre Tchèque (Bruxelles), Espace Van Gogh (Arles), Fondation Datris (Isle sur Sorgue), Maison de l'Amérique Latine (Paris) entre autres.

Dès 1660 le Chevalier de Clerville construit le fort Saint-Nicolas sur ordre de Louis XIV qui voulait tenir Marseille en respect en cas de rébellion. Auparavant, à cet emplacement se trouvait une tour servant à manoeuvrer la chaîne qui fermait l'entrée du port. Emportée comme trophée après le sac des Aragonnais, cette chaîne se trouve actuellement dans la cathédrale de Valence, en Espagne. Sous le Second Empire, lors de la construction de la Résidence Impériale (le Pharo), le fort fut coupé en deux afin de créer une voie d'accès détruisant ainsi le symbole de l'autorité royale : côté mer le fort Saint-Nicolas qui accueille la garnison militaire et son mess des officiers, et côté terre le fort d'Entrecasteaux. Le fort occupe un éperon calcaire compris entre le port, l'abbaye Saint-Victor et le Pharo. La construction enserra un moment la chapelle Saint-Nicolas construite au Moyen-Age, puis celle-ci fut détruite. Le fort est composé de deux ensembles étagés dont le plus bas, faisant office de basse cour sur le port est isolé depuis 1862 par le percement du boulevard (aujourd'hui Charles Livon). Le haut-fort est formé de deux enceintes imbriquées dont le plan quadrangulaire s'accroche à l'escarpement. La qualité des maçonneries, grand appareil de calcaire rose de la Couronne, et de leur mise en oeuvre (chaînages d'angle à bossages et cordon créant des arabesques de contre-courbes dans les pentes) concourent à créer une impression de puissance sereine, caractéristique du style du Chevalier de Clerville. Le fort est classé Monument Historique en 1969.

Féminin Pluriel est un réseau international qui rassemble des femmes solidaires et entreprenantes, des femmes de projets qui souhaitent partager leurs expériences, s'informer, apprendre, s'engager et se mobiliser sur des actions d'ouverture professionnelle. Le réseau Féminin Pluriel, association à but non lucratif, a été créé à Paris en 1992 par Béatrice Lanson-Villat, Sophie de Menthon et Capucine de Fouquières. Historiquement fondé à Paris, il s'étend désormais à d'autres villes ou régions : Languedoc-Roussillon, Provence, Bruxelles, Londres, Dubaï, Beyrouth... Les ambitions de Féminin Pluriel sont : - développer et optimiser l'activité professionnelle et le réseau des membres, - favoriser le partage d'expériences et de ressources et sceller des liens d'amitié, - cultiver l'esprit d'entraide en aidant ses membres ponctuellement en difficulté, - accélérer l'ascension sociale des plus jeunes Organisation de concerts Du récital de musique classique (piano, violon, et violoncelle, harpe, âEUR¦) au concert de musique du monde, Féminin Pluriel peut vous proposer une palette de styles musicaux en fonction de l'ambiance que vous désirez apporter.