A la fois romane et gothique, l'église Sainte-Valérie de Felletin recèle bien des trésors à découvrir lors d'une visite guidée : retables baroques, fresques du 16ème siècle, chapelle dite « des lissiers » unique exemple de peinture votive réalisée par les peintres cartonniers felletinois... Fondée au 12ème siècle puis remaniée au 15ème, l'église Sainte-Valérie du Moutier a été entièrement restaurée entre 1992 et 1998.

Bordant la cité felletinoise, l'eau de la Creuse a permis l'émergence de nombreux artisanats et savoir-faire, encore bien vivants aujourd'hui ! Laissez-vous commenter l'histoire de la ville grâce aux nombreux témoins architecturaux, véritables mémoires d'eau !

Felletin, Cité du bâtiment et porte du Parc Naturel Régional de Millevaches en Limousin, est aussi une ville de caractère comme en témoignent encore les magnifiques demeures (XV - XVIe siècles), les fontaines, maisons à pans de bois, hôtels particuliers, les détails architecturaux... à découvrir au fil des rues, un patrimoine religieux exceptionnel comme l'église gothique Notre-Dame du Château ou l'église Sainte-Valérie entièrement restaurées. Lors de la visite guidée, remontez le temps grâce à des vues anciennes de la ville et découvrez les évolutions urbanistiques de Felletin ainsi que ses trésors architecturaux.

L'association Felletin Patrimoine Environnement vous propose la découverte de l'association Court-Circuit, la Ressourcerie de Felletin par le biais de visite des nouveaux locaux d'accueil du public et de stockage des objets. Un moment unique pour comprendre comment sont triés, valorisés et sélectionnés les objets apportés, et également pour poser les questions qui vous turlupinent.

Venez découvrir les coulisses d'un chantier de fouilles d'un site castral précoce et mottes multiples avec des étudiants en archéologie

Un voyage de rêve à bord d'un autorail mythique pour découvrir une ligne de chemin de fer jalonnée de nombreux ouvrages d'art sur 35 kilomètres avec la traversée du célèbre viaduc de BUSSEAU SUR CREUSE, 56 mètres de haut, 338 de long, le premier de ce type, sur piliers métalliques, construit en FRANCE. Après la présentation du matériel et des lignes empruntées, en cours de trajet, l'histoire de tous les sites longés, le château de CHANTEMILLE, le bourg du MOUTIER D'AHUN et les boiseries sculptées de son église, son pont romain, vous seront présentés. Le bassin houiller d'AHUN desservi par cette ligne construite au départ pour acheminer le charbon vers les métropoles industrielles sera évoqué depuis la découverte de la houille, les débuts de l'exploitation, l'industrialisation de l'extraction, l'apogée, le déclin et la fermeture. La vie sociale autour du bassin ne sera pas oubliée, le travail harassant des mineurs, leurs conditions de vie, le courage de ces hommes et femmes ne vous laisserons pas insensibles. ---- PRESENTEZ-VOUS SUR LE QUAI 20 MINUTES AVANT LE DEPART ----

Un voyage de rêve à bord d'un autorail mythique pour découvrir une ligne de chemin de fer jalonnée de nombreux ouvrages d'art sur 35 kilomètres avec la traversée du célèbre viaduc de BUSSEAU SUR CREUSE, 56 mètres de haut, 338 de long, le premier de ce type, sur piliers métalliques, construit en FRANCE. Après la présentation du matériel et des lignes empruntées, en cours de trajet, l'histoire de tous les sites longés, le château de CHANTEMILLE, le bourg du MOUTIER D'AHUN et les boiseries sculptées de son église, son pont romain, vous seront présentés. Le bassin houiller d'AHUN desservi par cette ligne construite au départ pour acheminer le charbon vers les métropoles industrielles sera évoqué depuis la découverte de la houille, les débuts de l'exploitation, l'industrialisation de l'extraction, l'apogée, le déclin et la fermeture. La vie sociale autour du bassin ne sera pas oubliée, le travail harassant des mineurs, leurs conditions de vie, le courage de ces hommes et femmes ne vous laisserons pas insensibles. ---- PRESENTEZ-VOUS SUR LE QUAI 20 MINUTES AVANT LE DEPART ----

Un voyage de rêve à bord d'un autorail mythique pour découvrir une ligne de chemin de fer jalonnée de nombreux ouvrages d'art sur 35 kilomètres avec la traversée du célèbre viaduc de BUSSEAU SUR CREUSE, 56 mètres de haut, 338 de long, le premier de ce type, sur piliers métalliques, construit en FRANCE. Après la présentation du matériel et des lignes empruntées, en cours de trajet, l'histoire de tous les sites longés, le château de CHANTEMILLE, le bourg du MOUTIER D'AHUN et les boiseries sculptées de son église, son pont romain, vous seront présentés. Le bassin houiller d'AHUN desservi par cette ligne construite au départ pour acheminer le charbon vers les métropoles industrielles sera évoqué depuis la découverte de la houille, les débuts de l'exploitation, l'industrialisation de l'extraction, l'apogée, le déclin et la fermeture. La vie sociale autour du bassin ne sera pas oubliée, le travail harassant des mineurs, leurs conditions de vie, le courage de ces hommes et femmes ne vous laisserons pas insensibles.

Equipement disponible : Un court de tennis extérieur et une halle de tennis, ce bâtiment de 1530 m2 abrite deux courts (homologués par la fédération française de tennis) mais aussi un club house, des vestiaires et des sanitaires.

Ce pont médiéval, connu sous le nom de 'pont Soubre' et constitué de quatre arches, celles des extrémités en plein cintre, les deux autres en arc brisé, porte le nom d'un fabricant de tapisseries dont les ateliers étaient situés à proximité. Au XVIe siècle, Felletin était une ville prospère qui a vu se développer un nombre important d'industries : minoterie, tannerie, papeterie, teinturerie... La rivière apportait l'énergie nécessaire au fonctionnement des nombreux moulins. À côté du pont, on remarque la borne d'octroi symbolisant le droit qui devait être acquitté pour rentrer certaines marchandises et denrées dans la ville. Inscrit aux Monuments Historiques en 1926.

La première école d'enseignement des Métiers du Bâtiment a ouvert ses portes à Felletin le 1er octobre 1911. Dès les années 40, une délocalisation et de nouveaux espaces sont nécessaires au bon fonctionnement de cette école qui ne cesse de s'agrandir. Il est décidé de construire, en surplomb de la ville, route d'Aubusson, sur un terrain de 20 hectares, un grand complexe scolaire. Le premier permis de construire est délivré en 1947. Le projet est élaboré par l'architecte Jean-Pierre Paquet à partir de 1947 et la construction s'est poursuivie jusqu'en 1993. Il s'agit d'une réalisation architecturale très homogène malgré son étalement dans le temps, traduisant des préceptes utopistes (harmonie du travail physique et intellectuel, unité sociale). Elle associe des formes géométriques et des matériaux modernes à une mise en oeuvre traditionnelle, dans la lignée des maçons creusois. L'ori

Ce jardin s'inscrit dans les vestiges de l'ancienne chapelle des Pénitents Blancs, dont la construction date de 1625. En 2004, la commune décide d'y créer un jardin et de « cristalliser » les ruines. Une structure de bois servant de support aux glycines blanches suggère le volume intérieur de l'ancien édifice. Au sol, des allées de pierre marquent une circulation en croix. Les végétaux plantés sont tous de floraison blanche faisant écho à la couleur de la confrérie. La nuit, la mise en lumière donne vie au jardin.

Situé en dehors de la ville, route de Crocq direction Arfeuille, cette sépulture collective plus connue sous le nom de "Cabane César" est construite en granit gris, pris certainement sur place. Daté du néolithique final (environ 2750 av. j. C), le monument, qui devait être recouvert par un tumulus, possédait à l'avant un couloir caractéristique des dolmens angevins. Partiellement détruit par des tailleurs de pierre, il comporte six supports. La table était formée de deux dalles (l'une d'elles a disparu). Celle qui reste, côté ouest, mesure 3m 25 sur 2m. La cella est rectangulaire et mesure 2m 10 de large sur 2m 60 de long et 1m de haut ; 4 pierres plates, formant siège, sont adossées aux quatre angles. Il s'agit d'un dolmen de style angevin à portique et la fouille menée par le service des Antiquités préhistoriques du Limousin confirme l'hypothèse d'une allée couverte incomplète.

Cette colonne funéraire du 13e siècle, se trouvait autrefois dans le cimetière de Beaumont, sur les hauteurs de la ville. Elle a été transportée vers 1930 dans le cimetière actuel. Sur un massif de trois marches circulaires, constituée d'une pile creuse octogonale ajourée de huit fenêtres et surmontée d'un toit aigu, cet édifice possède une ouverture à 1, 50 m de la base qui permettait le maniement du fanal. C'est par cette ouverture qu'on tirait la chaîne qui s'enroulait sur une poulie, et à l'aide de laquelle on faisait monter ou descendre la lampe qui brûlait pendant la nuit. Classée Monument Historique en 1886. Elle a été restaurée par les élèves du lycée des métiers du bâtiment de Felletin en 1986.

Le Jardin du Cloître est une reconstitution végétale de l'ancien cloître où se mêlent les essences de lavande et de bruyère. Il faut profiter de la quiétude des lieux pour flâner et admirer l'architecture extérieure de l'église du Moutier. Avec ses carrés de vivaces, ses bordures en croisillons, son puits et ses bancs, l'endroit idéal pour un pique-nique.

Cette fontaine ornementale en granit, appelée "fontaine Quinault", est constituée d'une vasque circulaire et d'un haut piédestal central hexagonal, portant le buste en pierre du poète lyrique Philippe Quinault. Instruments de musique et couronne de laurier sculptés sur la colonne rappellent la carrière artistique de Quinault, protégé du dramaturge Tristan L'Hermite et collaborateur de Lully. Inaugurée solennellement en 1852 à la mémoire d'un enfant supposé du pays, le maire de Felletin eut la curieuse surprise de découvrir que Philippe Quinault n'avait aucun lien avec Felletin. Une mauvaise interprétation des archives avait entretenu cette méprise durant tout ce temps...

La fontaine Courtaud fait partie de ces belles fontaines ornementales que l'on trouve fréquemment sur les places des bourgs depuis le 19ème siècle. Fontaine en pierre volcanique surmontée du buste de Courtaud. Jean Claude Courtaud, né à Felletin le 19 novembre 1794, mort à Paris le 11 février 1879, professeur agrégé de grammaire grecque, auteur d'un dictionnaire de Français / Grec. Ce buste en pierre remplace un buste en bronze exécuté par Louis-Edmond Cougny (Nevers, 3 octobre 1831 - Paris, 17 février 1900), placé comme décor sur la fontaine, en 1881 ; ce buste en bronze fut enlevé le 4 février 1942 par les établissements Veyres-Périée, quai de Valon à Tulle, pour être envoyé à la refonte. Le buste visible actuellement est une copie exacte du buste initial, comme l'atteste la marque du fondeur Thiebaut, visible sur la pierre.

L'église Sainte-Valérie, dite du Moutier, fut fondée au début du XIIe siècle et remaniée au XVe siècle. De cette deuxième campagne de construction, on remarque le clocher, remarquable dans son style ogival flamboyant, avec sa haute tour carrée flanquée d'une tourelle octogonale ornée de statues et de gargouilles. Du haut du clocher, vue panoramique sur Felletin et les abords du Plateau de Millevaches. Les véritables trésors de cette église sont à l'intérieur : des fresques de différentes époques et de différents styles. Ainsi que des statues en bois peint des XIIème, XVème et XIX siècles ainsi que des retables du XVIIème siècle richement ornés. L'édifice a été complètement restauré entre 1992 et 1998, des panneaux didactiques permettent d'en faire une visite approfondie.

L'Église Notre-Dame-du-Château, édifice de style gothique fut érigée en une seule campagne à partir de 1478. Son architecture de type languedocienne caractérisée par un chevet polygonal, une large nef et des chapelles latérales simplement séparées par des murs contreforts, est très originale pour la région. Ces étonnantes influences s'expliquent par le fait que Pierre de Bourbon, commanditaire de l'ouvrage, était également comte de Castres. Architectes et ouvriers languedociens ont dû se succéder sur le chantier. Au cours du 19e siècle, elle devint la chapelle du collège situé à proximité. En 1807, après la démolition de la chapelle Sainte-Croix, les pénitents noirs, prirent la tribune de l'église Notre-Dame comme lieu d'accueil. En 1847, après des aménagements de voirie de la rue du Château, le portail ouest est réparé et un escalier construit à l'intérieur de l'édifice.

Cette chapelle, bâtie au XVéme siècle, était la chapelle de l'Hôpital Dieu. C'est en 1617, qu'elle deviendra le siége de la confrérie des pénitents bleus, d'où son nom. Restaurée après la Révolution, elle a un chevet droit et deux travées voutées d'ogives retombant sur des consoles dont deux sont sculptées de petits personnages qui tiennent des écussons figurants les armes anciennes de Felletin. La fenêtre du mur sud à réseau flamboyant est assez remarquable.