Lieu de naissance de saint Bernard en l'an 1090. Cet édifice a été remanié au XVIIe siècle pour devenir le monastère royal des Feuillants. En 1881, les bâtiments, très endommagés à la Révolution, sont restaurés et transformés pour prendre l'aspect que nous leur voyons aujourd'hui avec une grande tour munie d'une fausse herse et un portique à l'avant des deux chapelles, dont le décor appartient à la Renaissance tardive. Le monument commémoratif du centenaire fut accolé aux bâtiments en 1891 afin d'accueillir les très nombreux pèlerins. Il ne reçut un toit définitif qu'en 1991, à l'occasion du 9e centenaire de la naissance de saint Bernard.

Ancienne chapelle dédiée à saint Ambrosinien, elle ne devint église paroissiale qu'au milieu du XVe siècle. De sa reconstruction, à la fin du XIVe siècle, il ne subsiste que le portail ouest sous le porche. L'ensemble, tel que nous le voyons aujourd'hui, a été profondément restructuré de 1480 à 1530 environ. Le joyau de l'église se trouve dans le transept nord avec la statue de son saint patron, saint Bernard, vraisemblablement oeuvre de l'ymagier Antoine Le Moiturier.

L'église gothique du XIIIème siècle abrite l'orgue de Taizé, ainsi que de nombreuses statues et de splendides vitraux dessinés par Gérard Garouste. Les orgues de Talant : Réalisé en 1958 pour l'église de Taizé, l'orgue abrité au sein de l'église Notre Dame a été acheté en 1974 par la ville de Talant. Confié en 1996 à la maison Metzier (Suisse), c'est elle qui lui donne son aspect et sa sonorité actuelle. Les vitraux : C'est au début des années 80 que le projet de donner des vitraux à Notre-Dame de Talant est élaboré. Cette église est une des seules en France à se voir doter entièrement de vitraux figuratifs. Placé au coeur d'une architecture gothique, le style Gérard Garouste se distingue et donne une autre dimension à ce lieu de culte dédié à la vierge Marie. Résolument figurative, l'oeuvre de Gérard Davoustre rend hommage aux femmes qui ont marqué la Bible.

De par sa proximité avec le Bourg, le Parc de la Fontaine aux Fées a longtemps été un lieu d'activités humaines. Ce sont les carrières qui nous sautent aux yeux, mais les rebords des plateaux et replats ont eux aussi été exploités en vignes et vergers alors que les pelouses, milieux plus "pauvres", étaient pâturées par des troupeaux de chèvres et moutons. L'homme était présent partout. Depuis 1994, les règles de préservation du site entrent dans un cadre légal : celui de la loi relative à la protection de la nature. Une convention est signée entre le Conservatoire d'Espaces Naturels de Bourgogne et la Ville de Talant. Nouveau ! "Au fil du sentier", une application Smartphone pour découvrir autrement le Parc de la Fontaine aux Fées à Talant : plus d'infos en page d'accueil http://www. Cen-bourgogne. Fr/

Trente hectares d'espaces verts entourent le lac artificiel créé par le Chanoine Kir où l'on peut s'adonner à des activités sportives ou de détente. Sentier à thème du lac Kir au Parc de la Combe à la serpent. Un sentier balisé passe par le lac pour rejoindre les combes aménagées puis l'arrière-côte. En été, opération Dijon-Plage avec location de parasols, transats et plage surveillée. Nombreuses manifestations sportives (beach volley, tennis, triathlon...), feu d'artifice et concert le 14 juillet. Possibilité de louer un voilier à la base nautique ou de canoe kayak. Location de canoës et de voiliers à la plage.

Jardin de contemplation, de méditation et de repos. De nombreux symboles caractérisent ce jardin : l'eau de la cascade qui symbolise le temps qui passe, les 2 îles en forme de ''tortue'' et de ''grue'' qui symbolisent les valeurs terrestres et célestes, les conifères censés être habités par les dieux lorsqu'ils descendent sur Terre, les changements des couleurs des végétaux au cours des saisons, qui rendent les jardins points de rencontre de l'éternel et de l'éphémère, la maison de thé, lieu de cérémonie, etc...

La 'pierre de Dijon' qui permit l'édification des premiers monuments de la ville fut extraite de ces carrières, aujourd'hui réhabilitées en parc paysager avec amphithéâtre de pierre et cascade. Une pataugeoire, des installations de jeux pour enfants, un golf miniature et des enclos animaliers en font un lieu idéal pour y venir en famille.

Au fond du quartier de la Fontaine-d'Ouche, cette combe caractéristique du paysage bourguignon est, avec ses 326 hectares l'un des plus vastes parcs périurbains de France. Sentiers balisés pour les promeneurs, piste équestre, terrains de sport, parc animalier (daims), coins pique-nique et aires de jeux. Un patrimoine rural en lave : cadoles (anciens abris de cultivateurs ou de berger), un rucher entièrement restauré, unique en Bourgogne, murs en laves.

Salle d'escape game

Un jardin historique pas comme les autres... pour les gourmands de nature, rénové dans l'esprit du lieu, au centre des enjeux contemporains de préservation de la biodiversité sauvage et cultivée. Mettez un peu de botanique dans vos assiettes et dans vos verres... en découvrant le parcours végétal « Jardin botanique des saveurs et des cépages, des origines à demain ». Aujourd'hui, au Jardin de l'Arquebuse, la nature a du goût ! En lien avec la toute proche Cité internationale de la gastronomie et du vin, le jardin botanique se réinvente pour offrir aux visiteurs un lieu consacré à la biodiversité végétale. Une balade botanique et sensorielle où chacun est invité à mieux « consommer la nature ». Ce parcours, composé de 4 carrés thématiques, dans l'esprit de ce jardin à la Française, donne les clefs de lecture pour comprendre et faire le choix de ce que nous mettons dans notre assiette... Le tracé général du jardin reste identique, avec ses parterres bordés de buis (Jardin à la Française). Le déploiement de ce nouveau parcours, dédié aux nourritures végétales, est constitué de quatre carrés thématiques. Le visiteur est invité à « mettre un peu de botanique dans son assiette et dans son verre ! » : - La biodiversité végétale, pour découvrir les multiples plantes alimentaires sauvages et cultivées, replacées dans leur diversité. - Des plantes voyageuses, pour explorer les chemins des plantes qui nourrissent l'humanité. - Des plantes savoureuses, pour plonger au coeur des molécules des plantes et découvrir leurs richesses gustatives. - Des plantes vitales, pour se nourrir sainement dans un système alimentaire durable. Au coeur de Dijon, ville viticole historique située dans le périmètre des Climats du vignoble de Bourgogne, à quelques centaines de mètres seulement du point de départ de la route des grands crus de Bourgogne, le Jardin de l'Arquebuse complète son offre avec un parcours dédié aux cépages où le visiteur découvrira la diversité viticole à travers le monde : plus de 400 pieds de vignes de 70 cépages différents sont présentés dans les carrés botaniques, sur la pelouse dite Legouz de Gerland et enfin, courant 2023, sur des pergolas de part et d'autre de la Petite Orangerie. Pour améliorer l'accueil et l'orientation des publics, la signalétique a été repensée et harmonisée : les supports de médiation jalonnant le parcours de découverte sont réalisés en harmonie avec le lieu et l'élégante passerelle reliant la gare au jardin. Le jardin botanique, c'est aussi : Un arboretum, avec une centaine d'essences d'arbres locales et exotiques, aux abords duquel coule un petit ruisseau, le Raines, qui traverse les allées sinueuses de ce parc à l'Anglaise. Une roseraie aux mille parfums. Un lieu charmant par la délicatesse et l'histoire des variétés de roses anciennes et modernes présentées, notamment la « Gloire de Dijon ». ... des prairies fleuries, un jardin de roches, des « hôtels » à insectes, un plan d'eau abritant une jolie collection d'anatidés, des aires de jeux pour enfants, un théâtre de verdure... jalonnent votre parcours.

Une nouvelle identité graphique...un nouveau logo... pour un nouvel intitulé Comme une évidence, fidèle à « l'esprit des lieux » et à ses missions en faveur de la biodiversité et d'un retour de la nature en ville, le Jardin des sciences devient... le Jardin de l'Arquebuse MUSEUM - PAVILLON DE L'ARQUEBUSE : Comment la diversité du vivant s'est-elle mise en place sur notre planète ? En Bourgogne et partout ailleurs : où en est la biodiversité aujourd'hui ? Que proposent les scientifiques pour expliquer cette diversité ? Aucune espèce ne vit en solitaire : quelles connaissances avons-nous sur les relations entre les êtres vivants ? Aujourd'hui, quelle est l'influence de l'être humain sur la biodiversité ? Nous dirigeons-nous vers une sixième crise d'extinction biologique ? Autant d'interrogations sur lesquelles le nouveau muséum vous invite à réfléchir grâce à des expositions ludiques accessibles aux petits comme aux grands. Entre connaissances scientifiques actuelles et sensibilisation citoyenne, vous découvrirez en quoi consiste la préservation de la biodiversité, enjeu fondamental du développement durable. Avec ses espaces muséographiques rénovés et son discours entièrement réactualisé, le muséum présente l'histoire de la vie sur Terre et la biodiversité actuelle, au coeur dun espace privilégié : le Jardin de l'Arquebuse de la ville de Dijon. Grâce à ses trois entités (muséum, planétarium et jardin botanique), le Jardin de l'Arquebuse est une structure originale de diffusion et de partage des savoirs scientifiques, qui offre une vision complète, synthétique, cohérente et transverse sur l'ensemble des sciences de la nature (sciences de l'Univers, de la Terre, du vivant). Son objectif est de mettre en lumière les relations entre la nature, l'humain et l'environnement. Prolongez votre visite au jardin botanique et partez à la découverte de la diversité des plantes sauvages et cultivées(école de botanique, roseraie, arboretum), mais aussi à la rencontre de la biodiversité "ordinaire" urbaine : hôtel à insectes, ruches d'abeilles domestiques, prairie fleurie. Venez ! Découvrez ! Accès gratuit à l'ensemble des manifestations dans la limite des places disponibles. LE PLANETARIUM : En plus de la salle de projection, le bâtiment du planétarium accueille des expositions temporaires et permanentes ainsi qu'un espace météorologique en direct. Le temps qu'il fait, le temps d'une expo, et d'une pause café ! Les expositions présentées, traitent de nombreux sujets en lien avec la biodiversité : "Graines, elles sont parmi nous !", "Je vais te manger ! des prédateurs pour la biodiversité", "Loup, renard et Cie", "Bio'Inspiration", "Nature Incognito, la face cachée des villes"... Lieu de diffusion des savoirs , cet espace propose également des bornes multimédias, ateliers, visites, visioconférences... qui privilégient l'accès pour tous à la culture scientifique, sur un mode ludique. Un espace "météo" permet aux visiteurs de consulter, en direct, les prévisions météorologiques grâce au satellite Météosat. PROGRAMME D'ANIMATIONS PEDAGOGIQUES : Nous proposons de nombreux ateliers de découverte en lien avec les programmes des sciences de la vie et de la Terre, adaptés à chaque niveau, de la maternelle au lycée. Il nous est possible d'ab avec vos élèves des thématiques très diverses, et d'imaginer avec vous des ateliers « sur mesure », en lien avec les programmes. Au-delà, dans le cadre de l'observatoire participatif de la biodiversité urbaine, nous invitons concrètement enseignants et élèves à partager notre volonté de mieux connaître et de préserver la biodiversité, en participant à des programmes de sciences participatives.

Avec ses terrasses à balustrades, ses bassins et ses jeux de cascades, ce jardin public créé en 1880 autour du réservoir d'eau construit par l'ingénieur Darcy évoque l'Italie en plein coeur de la ville. Il montre outre de beaux massifs de fleurs, un grand choix d'essences, feuillus indigènes et exotiques, conifères et arbustes. A noter la réplique de l'ours polaire du sculpteur bourguignon François Pompon.

L'ancienne abbatiale de style gothique bourguignon possède une magnifique crypte romane, vestige souterrain d'une rotonde à trois étages construite vers 1000 sous l'abbé Guillaume de Volpiano, puis en partie effondrée en 1271. Dans un éclairage intimiste, découverte du martyrium de saint Bénigne avec un pavement en marbres colorés et de superbes chapiteaux sculptés. L'église devient cathédrale en 1792, succédant à l'église Saint-Etienne. Pillée à la Révolution, elle est intégralement vidée à l'exception de l'orgue du XVIIIème siècle. La cathédrale va connaître deux importantes restaurations dont la dernière à partir de 1884 par Charles Suisse. Une flèche de 93 mètres est ajoutée à l'édifice en 1896 avec à sa base huit statues représentant des gloires bourguignonnes.

Dans sa mission de valorisation du patrimoine dijonnais, la ville de Dijon et son Office de Tourisme permettent dorénavant aux Dijonnais et aux touristes de découvrir la magnifique église Saint-Philibert du XIIème siècle. Saint-Philibert est la seule église romane de Dijon. L'opportunité idéale pour les Dijonnais d'en apprendre davantage sur l'histoire de ce monument ! Désaffectée au culte depuis la Révolution, l'église fut successivement écurie, magasin de salpêtre et entrepôt à sel. Dans les années soixante-dix, elle fit l'objet de quelques travaux d'aménagement intérieur et devint un lieu d'animation culturelle. Toutefois, l'érosion de la pierre, causée par les remontées de sel et l'humidité, obligea à la fermer au public en 1979 pour des raisons de sécurité. Depuis 2002, l'église Saint-Philibert est ouverte chaque année pour les journées du patrimoine et de manière exceptionnelle comme en octobre 2010, lors de l'exposition urbaine art et design 21000. La municipalité avait néanmoins la volonté de rouvrir ce lieu exceptionnel au public de manière plus pérenne et de lui redonner une fonction, la seule église romane de Dijon devenant ainsi de nouveau accessible aux Dijonnais et aux touristes de passage. C'est ainsi qu'ont été engagés des travaux afin de garantir la sécurité du public et l'accessibilité des personnes à mobilité réduite sur ce site marqué par ses usages successifs et les vestiges du temps. Ce lieu est désormais rendu aux Dijonnais et aux touristes. Un dispositif de médiation est mis en place par le service Ville d'Art et d'Histoire. L'église sera donc accessible à la belle saison, durant laquelle ses importants volumes accueilleront des expositions d'art contemporain coordonnées par le musée des beaux-arts, en collaboration avec le Consortium-pôle d'art contemporain, le Fonds Régional d'Art Contemporain de Bourgogne et l'École Nationale Supérieure d'Art. Les quatre institutions ont en effet été invitées à réfléchir à une proposition artistique destinée à redonner vie à ce lieu emblématique. Ce projet s'inscrit d'ailleurs dans une tradition désormais bien ancrée à Dijon, celle de faire de ses anciens édifices religieux des espaces dévolus à la création contemporaine, qu'elle soit plastique ou théâtrale.

Situé au nord de Dijon, dans les nouveaux quartiers du clos de Pouilly, cet ancien parc récréatif a été cédé à la ville de Dijon en 1993. Cet espace de 13 hectares est tourné vers les jeux, le sport et les loisirs. Sa configuration : parcours de santé, bassin d'un hectare. Sa végétation : roseraie, massifs de plantes vivaces et annuelles, nombreux arbres et arbustes. Son organisation : enclos animalier, petit bassin agrémenté d'une cascade où s'ébattent des canards, manège pour enfants (en saison), espace avec des mini-terrains de basket et football, tennis de table, aire de jeux de boules, jeux pour enfants, mini-golf (en saison), piste de patins à roulettes, abri pique-nique, buvette, sanitaires.

Inspirées de plans proposés par l'entreprise Eiffel en 1868, les halles de Dijon ont été construites de 1873 à 1875 par les Fonderies et ateliers de construction de Fourchambault (Nièvre), sur les plans de l'ingénieur Louis-Clément Weinberger. Elles sont inscrites à l'Inventaire des Monuments Historiques. Le bâtiment présente une structure extérieure inspirée de l'architecture classique avec une succession d'arcades et de colonnes aux fûts cannelés et aux chapiteaux décorés de pampres de vigne. Il comprend 4 pavillons articulés autour de deux rues en croix. Les écoinçons des grandes arches sont ornés de motifs animaliers et de thèmes symboliques se rapportant aux halles : têtes de chevreuil, de mouflon, de sanglier et de boeuf, gibier et volailles, poissons et anguille, en médaillons, Cérès, déesse de la moisson et Hermès, dieu des échanges et du commerce. La toiture s'inspire fortement de celle des halles centrales de Paris.

300 vélos, vélos électriques en location, une dizaine de guides pour vos découvertes en vélo ou à pied, une équipe logistique disponible 7 jours/7.

Un lieu d'exception pour célébrer l'art de vivre à la française La Cité internationale de la gastronomie et du vin se déploie autour de 1 750 mètres carrés d'espaces d'exposition donnant les clés pour comprendre le « Repas gastronomique des Français » qui, en 2010, entrait sur la Liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Loin d'un label qui figerait les savoir-faire uniques du pays de la « bonne chère », l'Unesco reconnaissait ainsi la valeur exceptionnelle d'une tradition millénaire qui contribue au renforcement des liens sociaux : l'art de mettre les petits plats dans les grands, de sélectionner les bons produits, de les accompagner du vin idéal, mais aussi la convivialité qui caractérise le repas festif, les rituels attachés à celui-ci et aux moments importants de la vie...

Ce joyau de l'architecture gothique flamboyante est remarquable par sa galerie de bois sculptée et son escalier à vis terminé par la statue d'un jardinier portant une corbeille d'où sortent les nervures à crochet de la voûte.