L'église, dédiée à Saint-Pierre, située au sommet du "terrier" de Puyrolland, domine toute la région. Partiellement ruinée par un incendie et des destructions successives au cours de la guerre de Cent Ans et des guerres de Religion, elle ne conserve de l'époque romane que le portail et une partie de la nef. L'église est aujourd'hui partagée en deux parties dont l'une sert d'église paroissiale. L'autre partie, en ruine, garde de hauts murs éclairés par des fenêtres romanes, une baie gothique et une salle voûtée souterraine, généralement mentionnée comme crypte.

Prendre la direction de l'étang sur 800 m, avant de prendre un chemin à gauche presque en haut de la petite côte, au coin d'un bois de résineux. Suivez-le jusqu'au bout. Prenez alors la petite route sur la droite jusqu'à Chaussadas. Tournez à la première petite route à gauche. Prenez celle qui monte au départ. Laissez 4 sentiers sur votre gauche et 1 sur votre droite en allant tout droit. Au carrefour remontez la route sur la gauche, dans le village. Au prochain croisement prenez la route qui descend sur la gauche. Vous tournerez ensuite dans le 2 chemin à droite. Lorsque vous arrivez au dessus d'une route et que vous voyez des maisons au loin, continuez le chemin dans les bois. Laissez ensuite un "semblant" de sentier sur la droite, puis 1 sur la gauche. Au carrefour, remontez la piste à droite et suivez-la jusqu'à la route dans Les Pradelles. Descendez la route sur la droite et sans prendre la direction de Mareilles, continuez-la sur environ 300 m. Tournez alors dans un chemin à droite au coin d'un petit bois. A la route tournez à gauche et montez le 1er chemin sur la droite. Laissez un sentier sur la droite. Un peu plus loin, découvrez un superbe point de vue. Juste avant de rejoindre la route, ne prenez pas le chemin à gauche. A la route tournez à gauche. Faites environ 300 m avant de prendre le chemin à droite (si vous voulez faire une pause avant de prendre ce chemin, continuez légèrement la route, vous trouverez à gauche une aire pique-nique et jeux). Continuez le chemin jusqu'à une piste que vous prenez sur votre droite jusqu'à la départementale. Traversez-la pour continuer sur le sentier que vous trouverez en face environ 50 m plus loin sur votre droite. Continuez ce chemin tout droit en laissant 2 sentiers à droite, puis 2 à gauche. Au prochain croisement tournez à droite, puis tout de suite à gauche sur le chemin qui va longer le bois. Vous avez à nouveau un joli point de vue sur votre droite. Prenez ensuite le 1er chemin à droite et suivez-le jusqu'à une petite route. Tournez à gauche pour rejoindre Bournazeau. Au croisement tournez à droite. Vous avez la possibilité de visiter un artisan potier en remontant légèrement sur la gauche. Sinon tournez à droite en face des pancartes. Suivez cette petite route jusqu'au prochain croisement. Traversez pour vous diriger vers Chanseaud. Juste avant l'entrée du village prenez le beau chemin à droite. Continuez-le en en laissant un sur votre droite, puis un autre sur votre gauche. Traversez la route pour continuer le chemin forestier. A la route tournez à gauche, puis première à droite, direction La Génétine. Passez devant la maison et descendez le chemin le long des bâtiments. Entrez alors dans le champ et longez la clôture en la laissant sur votre gauche. Après avoir passé le petit pont, remontez le chemin qui s'enfonce dans les résineux. Vous en découvrirez de remarquables sur votre gauche. Après une prairie sur la gauche, descendez le premier chemin sur votre droite pour rejoindre le bourg de La-Chapelle-Saint-Martial.

église Saint Ausone

La Boutonne est une rivière. C'est le plus long affluent rive droite de la Charente et l'un de ses principaux émissaires autant pour le débit que pour son apport hydrologique. Elle arrose les départements des Deux-Sèvres et de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine. La Boutonne prend sa source dans le sud-est du département des Deux-Sèvres, à Chef-Boutonne. Sa vallée moyenne se caractérise par un parcours pittoresque dessinant de profonds méandres dans une vallée encaissée dès son entrée dans le département de la Charente-Maritime et, ce, jusqu'en amont de Saint-Jean-d'Angély. La vallée entaille plus ou moins profondément le plateau calcaire de la Saintonge et son altitude moyenne varie entre 33 mètres dans les prairies inondables au nord du village de Dampierre-sur-Boutonne et 16 mètres à son lieu de confluence avec la Nie, en amont de Saint-Jean-d'Angély. Tout le long de sa vallée moyenne, la Boutonne est jalonnée de nombreuses petites îles qui ont donné lieu à des toponymes évocateurs dont celui de Saint-Pierre-de-l'Isle. La rivière y reçoit de nombreux petits émissaires, composés principalement de ruisseaux, surtout sur sa rive gauche. La Nie en est le plus important tributaire, cette petite rivière conflue avec la Boutonne entre Saint-Julien-de-l'Escap et Saint-Jean-d'Angély. Jusqu'au début du xxe siècle où la force motrice de la rivière était utilisée, le canal Saint-Eutrope fut creusé au milieu du Moyen Âge. Partant de la commune voisine de Courcelles, en amont de Saint-Jean-d'Angély, il traverse la ville d'Est en Ouest sur une longueur totale de dix kilomètres et permettait de faire fonctionner sept moulins3. Il est doublé dans sa dernière partie par le canal du Puy Cherand. En aval de Saint-Jean-d'Angély, principale ville qu'arrose la rivière, commence la basse vallée de la Boutonne jusqu'à son lieu de confluence avec la Charente à Carillon, commune de Cabariot, à quelques kilomètres en amont de Tonnay-Charente. C'est dans cette partie de la vallée que la Boutonne était navigable pendant 31 km grâce aux aménagements réalisés au Moyen Âge et entre 1804 et 1808 depuis Saint-Jean-d'Angély. Cette ville était un ancien centre de batellerie encore actif jusqu'au début de la seconde moitié du xixe siècle, c'est-à-dire pendant le Second Empire. Son port fluvial situé Quai de Bernouët expédiait des produits locaux comme le bois, les grains, les vins et alcools et recevait du sel et des pierres de construction provenant des carrières de Saint-Vaize et de Saint-Savinien. Jusqu'en 1818, Saint-Jean-d'Angély expédiait à Rochefort par la rivière de la poudre à canons fabriquée dans une importante poudrière militaire établie dans le faubourg de Taillebourg, un quartier urbain au sud de la ville et sur la rive gauche de la Boutonne. Ce quai est très prisé pour des promenades en toutes saisons. Un plan d'eau y a été aménagé en face pour les loisirs nautiques

Tables, poubelles, point d'eau, aire de jeux, sanitaires, accès camping-car.

Edifié entre 1594 et 1630, le château de Ribemont-Mornay, sentinelle de la Saintonge, remplace un château féodal où séjourna Bertrand Duguesclin. Il fut occupé successivement par les familles de Chaumont, de Ligoure, d'Aubenton ...

Le village d'Antezant la Chapelle possède plusieurs éléments classés aux monuments historiques.

Le bourg apparaît situé sur une hauteur avec son clocher émergeant d'un bouquet de verdure. Son nom découlerait des poulies avec levier dites cigognes dont les puits du pays étaient jadis munis. La paroisse, citée en 1100, se crée lors du défrichement de la forêt de Chizé. Des franchises sont accordées par le comte de Poitiers afin d'attirer de nouveaux habitants. Placée sur les chemins royaux, elle est au XVIè s. un lieu de passage des troupes protestantes ou catholiques. Avant le phylloxera, la plus grande partie de la commune est recouverte de vignes produisant un vin blanc dont est tirée une eau-de-vie aussi bonne, dit-on, que celle de Cognac. En 2018, elle fusionne avec Prissé-la-Charrière, Belleville et Boisserolles pour former la commune nouvelle de Plaine d'Argenson et en devient une commune déléguée. A voir : ancien logis de St-Etienne, église St-Etienne, croix hosannière.

Dans le cadre des mesures prises pour lutter contre le coronavirus et suite au décret pris par le Premier ministre le 29 octobre, la médiathèque de Saint-Jean-d'Angély est fermée au public à partir du vendredi 30 octobre 2020 et jusqu'au 1er décembre 2020. MAIS : la médiathèque à votre porte : Les usagers de Saint-Jean-d'Angély de la médiathèque qui le souhaitent peuvent profiter du service de portage à domicile. Pour ce faire, ils peuvent appeler la médiathèque au 05 46 32 61 00 ou envoyer un courriel à mediatheque@angely.net, nous vous expliquerons alors comment procéder. la médiathèque à la fenêtre : Pour tous les usagers, le système de "Prêts à emporter" va être remis en service, vous pourrez réserver un créneau pour venir chercher des documents que nous vous aurons préparés, n'hésitez pas à nous appeler ou à nous envoyer un courriel pour avoir la démarche à suivre ou pour prendre rendez-vous. Toutes les animations qui étaient prévues en novembre sont annulées. MAIS : Les services numériques en ligne de la médiathèque départementale restent à votre disposition tout au long de la fermeture. Nous restons à votre écoute par téléphone, par courriel et sur la page Facebook de la médiathèque Merci de votre compréhension. l'équipe de la médiathèque Médiathèque située dans l'ancien réfectoire des moines de l'Abbaye Royale de Saint-Jean-d'Angély. Les animations jeunesse : - L'heure des tout-petits : le mercredi de 10h à 10h30. Comptines et histoires très simples sur un thème différent chaque semaine, sont chantées, racontées ou lues tous les mercredis matins pour les enfants entre 0 et 2ans accompagnés de leurs parents ou d'un adulte qui en a la garde (nounou, baby-sitter, grands-parents, etc...) - L'heure des grandes oreilles : le samedi de 10h15 à 11h. Des histoires sont lues ou racontées tous les samedis matins pour les enfants entre 6 et 10 ans. Après les histoires, chaque enfant peut choisir de regarder d'autres livres ou de faire une activité manuelle en lien avec les histoires racontées. - L'heure des petites oreilles : le samedi de 11h à 11h45. Des histoires sont lues ou racontées tous les samedis matins pour les enfants à partir de 3ans. Après les histoires, chaque enfant peut choisir de regarder d'autres livres ou de faire une activité manuelle en lien avec les histoires racontées. - L'atelier des petits conteurs : tous les mercredis entre 16h30 et 18h. C'est l'occasion pour les enfants entre 8 et 11 ans de pouvoir partager avec les autres le plaisir de lire ou de raconter et de développer la confiance en eux en osant lire devant un public. - L'heure des nounous est ouverte à toutes les assistantes maternelles qui souhaitent passer un moment convivial avec les enfants dont elles s'occupent, dans le cadre de la médiathèque.

Ancienne porte des remparts du XIIe siècle, beffroi de l'échevinage, réédifiée vers 1406, renfermant le sin qui rythmait la vie municipale. La tour symbolisait les libertés communales accordées à la ville en 1199 par une charte des communes.

Fermé temporairement par décision gouvernementale liée au Covid-19 Labellisé Musée de France, le musée des Cordeliers vous invite à découvrir son fonds inédit lié aux expéditions Citroën en Afrique et en Asie (1922-1932). Confiées par le commandant en second Louis Audouin-Dubreuil, Angérien, et Maurice Penaud, mécanicien en chef, des oeuvres ethnographiques, une riche iconographie dont des dessins de l'artiste Alexandre Iacovleff et une authentique autochenille transmettent la mémoire de ces aventures mythiques. Par ailleurs, des collections de mobilier, de céramique et d'orfèvrerie constituent un témoignage précieux de l'histoire du territoire. Chaque année, des expositions temporaires attractives et participatives approfondissent des thématiques liées aux Histoires d'ici et Cultures d'ailleurs qui forment l'identité de l'institution. En cours, « L'Odyssée du cognac angérien » retrace l'histoire des maisons de cognac locales, à l'origine d'un véritable âge d'or qui a profondément transformé la ville de la seconde moitié du XVIIème siècle au début du XXème siècle. Petits aventuriers, des livrets-jeux sont à votre disposition pour découvrir les collections ! Des visites-ateliers, guidées, insolites et des Escape Games sont également proposés aux familles sur réservation. Gratuit, ouvert tous les jours sauf les lundis, 25 décembre, 1er janvier et 1er mai. Hors saison : fermé le matin et le mardi.

Ancienne porte des remparts du XIIè siècle, beffroi de l'échevinage, réédifié vers 1406, renfermant le sin qui rythmait la vie municipale. La tour symbolisait les libertés communales accordées à la ville en 1199 par une charte des commune. Traces de nombreux impacts, souvenir des sièges que la ville a dû subir. Une exposition permanente a pris place dans les quatre salles qui rythment son élévation : la place de la tour dans l'évolution de la cité, ses différentes fonctions au cours des siècles, ses caractéristiques architecturales. Ne se visite pas

L'église Saint-André de Blanzay sur Boutonne est le principal monument à découvrir dans la commune. Particulièrement attrayante notamment grâce à sa façade ouest, l'église est classée monument historique depuis 1949.

Le château actuel date du XVIIème siècle.

Cet ancien domaine seigneurial se nommait jadis St-Martin-d'Augé. Il comprenait un prieuré proche de la forêt de Chizé. D'où lui vient ce patronyme ? Au IVè s., Martin, alors abbé de Ligugé, se rendant d'Availles-s.-Chizé à Mauzé-s.-le-Mignon, y fait halte pour évangéliser la population. En 1804, le préfet Dupin écrit que "les vins, qui constituent le plus important revenu de la commune, sont bons, surtout les blancs. On en fait une excellente eau-de-vie qui s'approche beaucoup de celle de Cognac". En 1928, le village prend le nom de Boisserolles, situé à 1 km d'Augé, mentionné au XIIIè s. et où se trouve la mairie. En 2018, il fusionne avec Prissé-la-Charrière, Belleville et St-Etienne-la-Cigogne pour former la commune nouvelle de Plaine d'Argenson. A voir : ancien prieuré St-Martin, fontaine d'Augé, monument aux morts, croix monumentale en hommage aux combattants et GR de pays.

Le village, arrosé par le Mignon, est cité pour la 1ère fois en 1183. Tout d'abord aux mains d'Aliénor d'Aquitaine, la seigneurie devient en 1346 le domaine du comte d'Eu et de Guines, connétable de France. Décapité en 1350, son bien est confisqué au profit de la Couronne et attribué plus tard à Marguerite de Valois, fille de Charles VI. Puis, Charles VII le donne à Christin de Chambers, capitaine de sa garde écossaise. Au milieu du XVIIIè s., la paroisse est en partie couverte de bois communaux. On y élève des brebis et quelques boeufs, y cultive la vigne jusqu'à l'invasion du phylloxera en 1880. Suite à la disparition de Prissé-le-Grand, Belleville hérite du hameau d'Ayguis en 1888. En 2018, elle fusionne avec Prissé-la-Charrière, St-Etienne-la-Cigogne et Boisserolles pour former la commune nouvelle de Plaine d'Argenson et en devient une commune déléguée. A voir : église Notre-Dame.

Joyau de la Renaissance XVI, le domaine de Dampierre se niche dans le Val de Boutonne, au coeur d'un méandre de petites îles enchantées où se déploient des parterres à la française, un labyrinthe de buis, peupleraie fleurie et un petit bois. Le château proprement dit est un bijou d'architecture avec sa galerie sculptée au décor alchimique mystérieux. Il fut l'hôte de visiteurs prestigieux, François Ier à Louis XIII, et plus tard le peintre Dali. Le domaine fut le théâtre d'une vie de jeux, de science et de plaisir que le parcours ludique de la visite invite à revivre. Possibilités de visites guidées des intérieurs, parcours enfant, expositions d'art dans l' orangerie et le Grand Comble, musée du cheval et de l'art équestre dans les anciennes écuries; "cabinet des merveilles" dans la haute tour; espace consacré à l'artiste Salvador Dali; promenade écologique culturelle et ludique dans les jardins à la découverte de la nature et d'animaux réels ou fantastiques. Lundis, mardis, jeudis et vendredis Visite libre des intérieurs et extérieurs : 8EUR - Salons et chambres d'apparat meublés (armures, tableaux de maîtres, tapisseries, statues, mobilier d'époque, cabinet d'ébène, cheminées monumentales, décors...), vestibule et escalier d'honneur. - cabinet de curiosités, espace Dali, galerie Alchimique, comble et charpente, chemins de ronde, musée du cheval dans les anciennes écuries, espaces d'expositions temporaires ... - Parc, jardins à la française, labyrinthe, bassins, îles, forêt de peupliers avec son parcours ludique de girouettes, échiquier géant, aire de pique-nique... Mercredis week-ends et jours fériés Visite libre des extérieurs : 6EUR - cabinet de curiosités, espace Dali, galerie Alchimique, comble et charpente, chemins de ronde, musée du cheval dans les anciennes écuries, espaces d'expositions temporaires ... - Parc, jardins à la française, labyrinthe, bassins, îles, forêt de peupliers avec son parcours ludique "roi Arthur", échiquier géant, aire de pique nique... Visite guidée des intérieurs : + 3 EUR - Salons et chambres d'apparats meublées (armures, tableaux de maîtres, tapisseries, statues, mobilier d'époque, cabinet d'ébène, cheminées monumentales, décors...), vestibule et escalier d'honneur. Gratuit pour les moins de 4 ans Demi-tarif pour les habitants de Dampierre, les moins de 18 ans, les personnes en situation de handicaps et les demandeurs d'emplois.

Priaire(s), qui s'écrit avec ou sans "s" final, est citée pour la première fois en 1044 dans le cartulaire de l'abbaye de St-Jean-d'Angély et appartenait à l'Aunis en relevant de la généralité et de l'élection de La Rochelle, puis des Deux-Sèvres en 1790. Son terroir était autrefois dans l'une des zones d'appellation du Cognac. La vigne, cultivée sur une importante superficie, produisait une excellente eau-de-vie jusqu'à la crise du phylloxera de 1873 laissant progressivement la place aux laiteries coopératives et aux cultures de céréales. En 2019, le village fusionne avec Usseau et Thorigny-s.-le-Mignon pour former la commune nouvelle de Val-du-Mignon. C'est en prenant le temps de flâner qu'on découvre la richesse du patrimoine bâti rurale fortement inspiré de l'architecture du département charentais voisin. A voir : église Notre-Dame (fonts baptismaux de 1629).

Cité en 1100, Prissé est divisé en deux communes en 1790 : Prissé-le-Petit et Prissé-le-Grand. Ce dernier est ensuite partagé entre plusieurs villages à la fin du XIXème siècle, tandis que Prissé-le-Petit, redevenu Prissé, fusionne avec La Charrière en 1972. La Charrière, mentionnée en 1243, est coquettement assise dans un petit vallon et traversée par le ruisseau des Alleuds et du Puits-Neuf. Avant 1880, elle est en grande partie plantée en vignes produisant un vin de la même qualité que celui de La Foye-Monjault. En 2018, Prissé-la-Charrière s'unit avec Belleville, St-Etienne-la-Cigogne et Boisserolles pour former la commune nouvelle de Plaine d'Argenson et en devient le chef-lieu. A voir : tumulus de Péré (nécropole néolithique), église St-André, château de Péré (deux platanes classés "arbres remarquables"), parc de La Charrière, Fête des plantes et du jardin au château de Péré.

La plus petite commune de Niort Agglo est dénommée ainsi pour la distinguer de celle de Thorigné, proche de Celles-s.-Belle. Au Moyen Age, la seigneurie dépend de l'élection de St-Jean-d'Angély, de la généralité de La Rochelle et de la seigneurie de Frontenay d'où une triple appartenance aux provinces de la Saintonge, de l'Aunis et du Poitou, génératrice de complications. En 2019, le village fusionne avec Usseau et Priaires pour former la commune nouvelle de Val-du-Mignon et en devient une commune déléguée dont le chef-lieu est Usseau. Thorigny a pour coeur l'église Notre-Dame et, comptant le plus petit nombre d'habitants, forme une grande famille. Tourné vers l'agriculture et l'élevage, le village organise chaque été des marchés fermiers et sa fête champêtre, le dernier week-end d'août. A voir aussi : ferme Giraud (gîte), ancien moulin à eau du XVIIIè s. et bois de Beaulieu (ZNIEFF).